Mal en point. La Caisse nationale de prévoyance sociale (CNaPS) tourne au ralenti. « Le ministère de tutelle a imposé la restriction budgétaire à la CNaPS, pour mieux contrôler les dépenses. », a avoué un responsable de cette institution nationale, hier. Plusieurs activités de la CNaPS en souffrent. « Il n’y a plus de délivrance de fiche de paie. Le bulletin de paie est disponible dans la base de données, mais suite à la pénurie de papiers, il est impossible de faire des impressions. », confie un employé de la CNaPS. Les retraités s’en sont plaints, lors du paiement des pensions du mois de novembre. Ils ne savaient pas le montant de l’argent qu’ils allaient toucher. S’ils envisagent de faire un prêt, ce ne sera pas possible car ils n’ont pas de pièces pour effectuer leur demande, vu que leurs fiches de paie ne sont pas disponibles. Au mois de décembre, les retraités risquent encore de toucher leur pension sans cette pièce. La pénurie de papiers ne serait pas le seul impact de ces restrictions budgétaires. Aucun achat de fournitures de bureau ne serait effectué, depuis plusieurs mois. Des agents de la CNaPS confient qu’ils ne peuvent plus partir en mission. Certains agents qui ont été affectés à d’autres postes n’auraient pas pu partir à temps, faute de budget. Les véhicules de l’entreprise qui tombent en panne ne seraient pas réparés. Les médicaments du centre médical de la Cnaps seraient épuisés La CNaPS serait dans cette situation depuis le départ de son ancien directeur général. Les agents de cette institution réclament le déblocage de son budget de fonctionnement, pour qu’elle puisse reprendre ses activités à la normale. « C’est l’espace vital de l’établissement qui est touché. », note un agent de l’entreprise. Un responsable de cet établissement public affirme que des demandes ont été déjà déposées au sein du ministère de l’Économie et des finances, pour lever ces restrictions budgétaires.
Mal en point. La Caisse nationale de prévoyance sociale (CNaPS) tourne au ralenti. « Le ministère de tutelle a imposé la restriction budgétaire à la CNaPS, pour mieux contrôler les dépenses. », a avoué un responsable de cette institution nationale, hier. Plusieurs activités de la CNaPS en souffrent. « Il n’y a plus de délivrance de fiche de paie. Le bulletin de paie est disponible dans la base de données, mais suite à la pénurie de papiers, il est impossible de faire des impressions. », confie un employé de la CNaPS. Les retraités s’en sont plaints, lors du paiement des pensions du mois de novembre. Ils ne savaient pas le montant de l’argent qu’ils allaient toucher. S’ils envisagent de faire un prêt, ce ne sera pas possible car ils n’ont pas de pièces pour effectuer leur demande, vu que leurs fiches de paie ne sont pas disponibles. Au mois de décembre, les retraités risquent encore de toucher leur pension sans cette pièce. La pénurie de papiers ne serait pas le seul impact de ces restrictions budgétaires. Aucun achat de fournitures de bureau ne serait effectué, depuis plusieurs mois. Des agents de la CNaPS confient qu’ils ne peuvent plus partir en mission. Certains agents qui ont été affectés à d’autres postes n’auraient pas pu partir à temps, faute de budget. Les véhicules de l’entreprise qui tombent en panne ne seraient pas réparés. Les médicaments du centre médical de la Cnaps seraient épuisés La CNaPS serait dans cette situation depuis le départ de son ancien directeur général. Les agents de cette institution réclament le déblocage de son budget de fonctionnement, pour qu’elle puisse reprendre ses activités à la normale. « C’est l’espace vital de l’établissement qui est touché. », note un agent de l’entreprise. Un responsable de cet établissement public affirme que des demandes ont été déjà déposées au sein du ministère de l’Économie et des finances, pour lever ces restrictions budgétaires.