La grande famille de l’Université de Mahajanga conduite par son président, le Pr Odilon Tiandaza Dinaraly, condamne la violence commise à l’encontre de la directrice de l’École de Droit et Science Politique (EDSP), survenue mardi dernier, au campus à Ambondrona. Telle a été la déclaration du président de l’Université devant la presse. « Nous exhortons les parents, étudiants ainsi que les enseignants, et même les squatters à faire preuve de calme, en attendant la suite de cette affaire. Le patrimoine de l’Université dont le terrain doit être aussi respecté », a déclaré le Pr Odilon Tiandaza Dinaraly. Mardi dernier, la directrice de l’EDSP avait pris en photo avec son portable des individus en train d’effectuer une construction illicite sur le terrain appartenant à l’Université. Ils se sont alors approchés d’elle et ont exigé d’effacer les photos. Mais la responsable a refusé, une altercation suivie de violences a alors éclaté. Depuis jeudi, une enquête mixte a été initiée par la Police Judiciaire et la Brigade de recherche criminelle au sein de la Gendarmerie nationale, chargées de cette affaire.
La grande famille de l’Université de Mahajanga conduite par son président, le Pr Odilon Tiandaza Dinaraly, condamne la violence commise à l’encontre de la directrice de l’École de Droit et Science Politique (EDSP), survenue mardi dernier, au campus à Ambondrona. Telle a été la déclaration du président de l’Université devant la presse. « Nous exhortons les parents, étudiants ainsi que les enseignants, et même les squatters à faire preuve de calme, en attendant la suite de cette affaire. Le patrimoine de l’Université dont le terrain doit être aussi respecté », a déclaré le Pr Odilon Tiandaza Dinaraly. Mardi dernier, la directrice de l’EDSP avait pris en photo avec son portable des individus en train d’effectuer une construction illicite sur le terrain appartenant à l’Université. Ils se sont alors approchés d’elle et ont exigé d’effacer les photos. Mais la responsable a refusé, une altercation suivie de violences a alors éclaté. Depuis jeudi, une enquête mixte a été initiée par la Police Judiciaire et la Brigade de recherche criminelle au sein de la Gendarmerie nationale, chargées de cette affaire.