Accusés de trafic transnational de drogue à haut risque, cinq ressortissants mauriciens ont été condamnés à cinq ans de travaux forcés par la Cour criminelle ordinaire, jeudi. Beerbul Yash, Richenzo Benzy Bontemps, Louis Hemsley Lim Sik Fang et Jean Anuel Anthony Rosette poursuivis en justice à Madagascar pour trafic transnational de drogue à haut risque. Ils ont été jugés lors de la dernière session de la Cour criminelle ordinaire, dans la salle 5 du Palais de Justice, à Anosy, jeudi. Ces Mauriciens et leur coaccusé, un métis mauricien-malgache, résident et propriétaire d’un restaurant à Antsiranana, ont été condamnés à cinq ans de travaux forcés. Ils ont été acquittés au bénéfice du doute par rapport aux autres chefs d’inculpation, à savoir : entrée illégale sur le territoire malgache, facilitation d’immigration des personnes non-ressortissantes et non-résidentes à Madagascar pour le restaurateur, et finalement, participation à la commission du crime tout en étant en connaissance de cause. Tous les cinq ont plaidé non coupables quand le juge, assisté par ses assesseurs, a commencé à les interroger. L’assistance a du mal à comprendre leurs arguments. Ils s’expriment à mi-voix. Deux baffles existent sur les deux côtés de la salle, sur les murs, mais pas de micro.
Accusés de trafic transnational de drogue à haut risque, cinq ressortissants mauriciens ont été condamnés à cinq ans de travaux forcés par la Cour criminelle ordinaire, jeudi. Beerbul Yash, Richenzo Benzy Bontemps, Louis Hemsley Lim Sik Fang et Jean Anuel Anthony Rosette poursuivis en justice à Madagascar pour trafic transnational de drogue à haut risque. Ils ont été jugés lors de la dernière session de la Cour criminelle ordinaire, dans la salle 5 du Palais de Justice, à Anosy, jeudi. Ces Mauriciens et leur coaccusé, un métis mauricien-malgache, résident et propriétaire d’un restaurant à Antsiranana, ont été condamnés à cinq ans de travaux forcés. Ils ont été acquittés au bénéfice du doute par rapport aux autres chefs d’inculpation, à savoir : entrée illégale sur le territoire malgache, facilitation d’immigration des personnes non-ressortissantes et non-résidentes à Madagascar pour le restaurateur, et finalement, participation à la commission du crime tout en étant en connaissance de cause. Tous les cinq ont plaidé non coupables quand le juge, assisté par ses assesseurs, a commencé à les interroger. L’assistance a du mal à comprendre leurs arguments. Ils s’expriment à mi-voix. Deux baffles existent sur les deux côtés de la salle, sur les murs, mais pas de micro.