Quatre charrettes immobilisées par la Police municipale ont créé des troubles dans la zone des 67ha sud, hier. Selon l’explication de la commune urbaine d’Antananarivo (CUA), elles transportaient sans autorisation de la terre de remblai et, de ce fait, elles devraient être mises en fourrière. Les charretiers ont manifesté contre cette décision en bloquant la rue qui mène vers les 67ha. Du côté de la CUA, on informe que le transport de terre de remblai est illégale et les actions entreprises entrent dans le cadre de la lutte contre les remblais illicites Des éléments de la Police nationale ont rétabli l’ordre. La querelle entre les policiers et les charretiers dure depuis des années. Le nombre de charrettes qui circulent dans la capitale augmente de jour en jour. Mise à part la règlementation sur la circulation de celles-ci, le déplacement de ce moyen de transport à des heures proscrites fait l’objet de sensibilisation auprès des concernés. En 2019, de nouvelles mesures pour réduire les embouteillages interdisaient la circulation des charrettes dans certains quartiers de la capitale, mais l’autorisaient à des heures déterminées à d’autres endroits. L’obstruction de la voie publique liée à leur circulation a été l’une des raisons mentionnées.
Quatre charrettes immobilisées par la Police municipale ont créé des troubles dans la zone des 67ha sud, hier. Selon l’explication de la commune urbaine d’Antananarivo (CUA), elles transportaient sans autorisation de la terre de remblai et, de ce fait, elles devraient être mises en fourrière. Les charretiers ont manifesté contre cette décision en bloquant la rue qui mène vers les 67ha. Du côté de la CUA, on informe que le transport de terre de remblai est illégale et les actions entreprises entrent dans le cadre de la lutte contre les remblais illicites Des éléments de la Police nationale ont rétabli l’ordre. La querelle entre les policiers et les charretiers dure depuis des années. Le nombre de charrettes qui circulent dans la capitale augmente de jour en jour. Mise à part la règlementation sur la circulation de celles-ci, le déplacement de ce moyen de transport à des heures proscrites fait l’objet de sensibilisation auprès des concernés. En 2019, de nouvelles mesures pour réduire les embouteillages interdisaient la circulation des charrettes dans certains quartiers de la capitale, mais l’autorisaient à des heures déterminées à d’autres endroits. L’obstruction de la voie publique liée à leur circulation a été l’une des raisons mentionnées.