Après deux jours de mission, les émissaires des Nations unies sont en pleine campagne pour avoir tous les avis concernant le processus électoral. Ils continuent les rencontres avec diverses entités. Après les deux rencontres de la première journée, les émissaires des Nations unies ont eu un emploi du temps chargé hier avec pas moins de trois réunions avec des hauts responsables du pays. La journée d'hier est marquée tout d'abord par la rencontre avec Christian Ntsay, Premier ministre et chef du gouvernement collégial au palais de la primature à Mahazoarivo. Après la rencontre avec le Conseil œcuménique des Églises chrétiennes (FFKM) et les candidats mercredi, on peut dire que les émissaires ont fait en deux jours le tour des avis sur le processus électoral notamment avec les opinions de la plupart des candidats qui composent le collectif des onze qui ne cesse de fustiger les irrégularités au sein des institutions de préparation des élections. De l'autre côté, le Premier ministre et le gouvernement collégial prônent le fait qu'il est indispensable de maintenir la date du 9 novembre et appellent à chaque sortie médiatique à l'apaisement du peuple et somment les politiciens de cesser les déstabilisations.
Après deux jours de mission, les émissaires des Nations unies sont en pleine campagne pour avoir tous les avis concernant le processus électoral. Ils continuent les rencontres avec diverses entités. Après les deux rencontres de la première journée, les émissaires des Nations unies ont eu un emploi du temps chargé hier avec pas moins de trois réunions avec des hauts responsables du pays. La journée d'hier est marquée tout d'abord par la rencontre avec Christian Ntsay, Premier ministre et chef du gouvernement collégial au palais de la primature à Mahazoarivo. Après la rencontre avec le Conseil œcuménique des Églises chrétiennes (FFKM) et les candidats mercredi, on peut dire que les émissaires ont fait en deux jours le tour des avis sur le processus électoral notamment avec les opinions de la plupart des candidats qui composent le collectif des onze qui ne cesse de fustiger les irrégularités au sein des institutions de préparation des élections. De l'autre côté, le Premier ministre et le gouvernement collégial prônent le fait qu'il est indispensable de maintenir la date du 9 novembre et appellent à chaque sortie médiatique à l'apaisement du peuple et somment les politiciens de cesser les déstabilisations.