Une journée allemande malgache a été organisée, lundi, à l’hôtel Carlton, à Anosy. Les énergies renouvelables et la possibilité de la relance verte ont été au centre des discussions. Celles ci visent également à reformer l’enseignement supérieur concernant le secteur pour qu’il réponde aux besoins de l’emploi. D’après le professeur Andrianelison Rakotomahevitra, directeur de l’Institut pour la maîtrise de l’énergie (IME), un organisme de formation et de recherche rattaché à l’Université d’Antananarivo, « les étudiants sont encouragés à créer leur propre entreprise. Au moins, ils réussiront l’électrification des communes rurales. Cela va réduire le taux d’insécurité ». Pour le moment, le secteur reste moins exploité. Or, il contribuera considérablement à la baisse du coût d’électricité. Seulement 6% de la population utilise les énergies renouvelables dont celles solaires, hydrauliques et éoliennes. En 2030, soit après huit ans, 70% des Malgaches en bénéficieront, selon les estimations des experts. « Nous avons les compétences. Pourtant, le problème repose sur les moyens. Les énergies renouvelables nécessitent un gros investissement », a-t-on soulevé.
Une journée allemande malgache a été organisée, lundi, à l’hôtel Carlton, à Anosy. Les énergies renouvelables et la possibilité de la relance verte ont été au centre des discussions. Celles ci visent également à reformer l’enseignement supérieur concernant le secteur pour qu’il réponde aux besoins de l’emploi. D’après le professeur Andrianelison Rakotomahevitra, directeur de l’Institut pour la maîtrise de l’énergie (IME), un organisme de formation et de recherche rattaché à l’Université d’Antananarivo, « les étudiants sont encouragés à créer leur propre entreprise. Au moins, ils réussiront l’électrification des communes rurales. Cela va réduire le taux d’insécurité ». Pour le moment, le secteur reste moins exploité. Or, il contribuera considérablement à la baisse du coût d’électricité. Seulement 6% de la population utilise les énergies renouvelables dont celles solaires, hydrauliques et éoliennes. En 2030, soit après huit ans, 70% des Malgaches en bénéficieront, selon les estimations des experts. « Nous avons les compétences. Pourtant, le problème repose sur les moyens. Les énergies renouvelables nécessitent un gros investissement », a-t-on soulevé.