Assagi, le batteur noir s’est, une fois de plus, exprimé à sa manière, cette fois-ci à Analakely. Les soirées se suivent et se ressemblent presque toutes, à l’hôtel de l’Avenue. Cependant, quand des artistes du calibre de Jimmy s’y invitent, les lieux resplendissent comme par enchantement. Le public se diversifie et augmente en nombre. Ce fut le cas, vendredi soir. Si l’endroit est plutôt connu pour accueillir des cabarets de variétés, le batteur noir a su y imposer son fameux « Zaoto groove ». Bien qu’habituellement, il préfère se déchaîner sur ses grosses caisses à coups de baguette, ce soir-là, l’artiste a choisi de caresser sa guitare de la main gauche. Laissant Dil Mandresy, sa basse ainsi que ses compères en haut de la scène, l’artiste descend à même le sol pour être au plus près de son public. Ainsi, c’est en bon maestro qu’il dirige toute son équipe du bas de la scène. Il alterne salegy et tsapiky durant toute la soirée, bien sûr en y ajoutant de son propre groove pour donner un subtil mélange de genres, se rapprochant plus de la world music que des rythmes traditionnels. Un cocktail musical qui n’a eu pour effet que de satisfaire pleinement toute l’assistance, composée en majorité d’artistes confirmés et musiciens en tout genre. Non-content de combler son public rien qu’avec ses riffs et son groove, l’artiste s’est aussi permis le luxe d’inviter l’envoûtante bassiste qu’est Christelle Ratri pour l’accompagner durant la deuxième partie de la soirée. Cerise sur le gâteau, rien de moins que cette figure féminine emblématique de la guitare du moment pour scotcher le public. « Avec Jimmy à la guitare et à la batterie, Christelle à la basse, le mélange ne pouvait être qu’explosif », confie une voix satisfaite dans le public. Un public qui, visiblement n’avait pas du tout hâte que la soirée s’achève. Harilalaina Rakotobe
Assagi, le batteur noir s’est, une fois de plus, exprimé à sa manière, cette fois-ci à Analakely. Les soirées se suivent et se ressemblent presque toutes, à l’hôtel de l’Avenue. Cependant, quand des artistes du calibre de Jimmy s’y invitent, les lieux resplendissent comme par enchantement. Le public se diversifie et augmente en nombre. Ce fut le cas, vendredi soir. Si l’endroit est plutôt connu pour accueillir des cabarets de variétés, le batteur noir a su y imposer son fameux « Zaoto groove ». Bien qu’habituellement, il préfère se déchaîner sur ses grosses caisses à coups de baguette, ce soir-là, l’artiste a choisi de caresser sa guitare de la main gauche. Laissant Dil Mandresy, sa basse ainsi que ses compères en haut de la scène, l’artiste descend à même le sol pour être au plus près de son public. Ainsi, c’est en bon maestro qu’il dirige toute son équipe du bas de la scène. Il alterne salegy et tsapiky durant toute la soirée, bien sûr en y ajoutant de son propre groove pour donner un subtil mélange de genres, se rapprochant plus de la world music que des rythmes traditionnels. Un cocktail musical qui n’a eu pour effet que de satisfaire pleinement toute l’assistance, composée en majorité d’artistes confirmés et musiciens en tout genre. Non-content de combler son public rien qu’avec ses riffs et son groove, l’artiste s’est aussi permis le luxe d’inviter l’envoûtante bassiste qu’est Christelle Ratri pour l’accompagner durant la deuxième partie de la soirée. Cerise sur le gâteau, rien de moins que cette figure féminine emblématique de la guitare du moment pour scotcher le public. « Avec Jimmy à la guitare et à la batterie, Christelle à la basse, le mélange ne pouvait être qu’explosif », confie une voix satisfaite dans le public. Un public qui, visiblement n’avait pas du tout hâte que la soirée s’achève. Harilalaina Rakotobe