Pas d’intérêts. Difficile de mettre en place une ou des banques de développement dans le pays. Ce genre de banque intéresse peu alors qu’elle est vivement sollicitée par divers acteurs et entrepreneurs de développement. « Une banque de développement doit avant tout penser à ne pas réaliser de profits car elle a pour principal objectif de soutenir des activités de développement comme son nom l’indique. Ainsi, peu ose s’aventurer à investir dans une activité non profitable », explique Barijaona Ramaholimiaso, conseiller en banque. Une banque de développement est en effet sollicitée dans un pays comme Madagascar afin de booster les investissements en infrastructure sociale, en construction, ou pour appuyer les entreprises nouvellement créées ou ayant déjà existé, dont la mission valorise l’économie sociale et solidaire. Le développement des secteurs sociaux attend également obtenir des coups de pouce de la part des banques qui ne soutiendraient que le développement. « L’État est toujours sollicité pour créer une banque de développement. Vu que l’État a un budget limité, il serait obligé d’emprunter. Mais quel pays, ou banque étrangère accepterait de prêter à un taux zéro pendant dix, vingt, quarante, cinquante ans ? ».
Pas d’intérêts. Difficile de mettre en place une ou des banques de développement dans le pays. Ce genre de banque intéresse peu alors qu’elle est vivement sollicitée par divers acteurs et entrepreneurs de développement. « Une banque de développement doit avant tout penser à ne pas réaliser de profits car elle a pour principal objectif de soutenir des activités de développement comme son nom l’indique. Ainsi, peu ose s’aventurer à investir dans une activité non profitable », explique Barijaona Ramaholimiaso, conseiller en banque. Une banque de développement est en effet sollicitée dans un pays comme Madagascar afin de booster les investissements en infrastructure sociale, en construction, ou pour appuyer les entreprises nouvellement créées ou ayant déjà existé, dont la mission valorise l’économie sociale et solidaire. Le développement des secteurs sociaux attend également obtenir des coups de pouce de la part des banques qui ne soutiendraient que le développement. « L’État est toujours sollicité pour créer une banque de développement. Vu que l’État a un budget limité, il serait obligé d’emprunter. Mais quel pays, ou banque étrangère accepterait de prêter à un taux zéro pendant dix, vingt, quarante, cinquante ans ? ».