Le préfet de police d’Antananarivo-ville peut souffler. Le 1er mai se fêtera sans manifestation de rue, Covid-19 oblige. La célébration de la Fête du travail de vendredi aura une allure de cortège funèbre. À cause de l’arrêt ou la suspension des activités économiques, par respect pour les mesures de confinement, afin d’endiguer l’avancée du coronavirus à travers le monde, des millions de salariés ont été mis au repos malgré eux. En congé payé obligatoire ou au chômage technique partiel. Et comme le rassemblement de plus de cinquante personnes est interdit, ici comme ailleurs, qui va encore défiler pour marquer cette journée où les syndicalistes du monde entier dénoncent les multiples violations des droits des travailleurs. Même les conférences-débats à thèmes risquent de ne pas avoir lieu. Du coup, le préfet de police de la capitale, le général Angelo Ravelonarivo va passer une fin de semaine des plus tranquilles. Lui qui a toujours été débordé par des demandes d’autorisation à manifester à l’approche du 1er mai, peut laisser échapper un grand ouf de soulagement. Grâce au Covid-19.
Le préfet de police d’Antananarivo-ville peut souffler. Le 1er mai se fêtera sans manifestation de rue, Covid-19 oblige. La célébration de la Fête du travail de vendredi aura une allure de cortège funèbre. À cause de l’arrêt ou la suspension des activités économiques, par respect pour les mesures de confinement, afin d’endiguer l’avancée du coronavirus à travers le monde, des millions de salariés ont été mis au repos malgré eux. En congé payé obligatoire ou au chômage technique partiel. Et comme le rassemblement de plus de cinquante personnes est interdit, ici comme ailleurs, qui va encore défiler pour marquer cette journée où les syndicalistes du monde entier dénoncent les multiples violations des droits des travailleurs. Même les conférences-débats à thèmes risquent de ne pas avoir lieu. Du coup, le préfet de police de la capitale, le général Angelo Ravelonarivo va passer une fin de semaine des plus tranquilles. Lui qui a toujours été débordé par des demandes d’autorisation à manifester à l’approche du 1er mai, peut laisser échapper un grand ouf de soulagement. Grâce au Covid-19.