Le président de la République compte revoir à la baisse le nombre de détenus. Il pense gracier ceux qui ne sont pas des criminels. Réduire le nombre des détenus. Un objectif de la politique carcérale annoncée par Andry Rajoelina, président de la République, à Fianarantsoa, hier. Le lancement de «tribunaux de proximité», a été indiqué par le Chef de l’Etat. Il a surtout annoncé qu’il compte décréter «une large grâce présidentielle». La pose de la première pierre d’un nouvel établissement pénitentiaire pour la ville de Fianarantsoa est un des objets de la visite du locataire d’Iavoloha à Fianarantsoa, hier. «Il ne s’agit pas de faire en sorte d’augmenter le nombre de détenus, au contraire notre but est de le réduire et améliorer les conditions carcérales», a déclaré le président Rajoelina. Ils seraient près de vingt-huit mille détenus, actuellement, repartis dans toutes les prisons du pays qui ne pourraient en accueillir qu’aux alentours de dix mille, pourtant. Outre la mise la mise en branle incessamment d’une juste foraine, décreter une large grâce présidentielle est la voie choisie par le Chef de l’Etat pour réduire le nombre de la population carcérale. Les conditions de cette grâce, selon ses dires, sont déjà à l’étude. Le décret y afférent devrait être pris dans « deux ou trois semaines ». Grâce sélective À entendre les explications de Andry Rajoelina, à Fianarantsoa, cette grâce devrait concerner les personnes ayant écopé d’une peine relativement courte, ceux dont les peines d’emprisonnement seraient excessives par rapport aux faits qui leur sont imputés. Les détenus reconnus coupables de crime et détournement de deniers publics ne seront, toutefois, pas concernés par cette grâce, comme l’affirme le Président de la République. Sis à Ambilanikely, à environ 12 kilomètres de la ville de Fianarantsoa, la prison dont les travaux ont été lancés, hier, couvre un total de neuf hectares.
Le président de la République compte revoir à la baisse le nombre de détenus. Il pense gracier ceux qui ne sont pas des criminels. Réduire le nombre des détenus. Un objectif de la politique carcérale annoncée par Andry Rajoelina, président de la République, à Fianarantsoa, hier. Le lancement de «tribunaux de proximité», a été indiqué par le Chef de l’Etat. Il a surtout annoncé qu’il compte décréter «une large grâce présidentielle». La pose de la première pierre d’un nouvel établissement pénitentiaire pour la ville de Fianarantsoa est un des objets de la visite du locataire d’Iavoloha à Fianarantsoa, hier. «Il ne s’agit pas de faire en sorte d’augmenter le nombre de détenus, au contraire notre but est de le réduire et améliorer les conditions carcérales», a déclaré le président Rajoelina. Ils seraient près de vingt-huit mille détenus, actuellement, repartis dans toutes les prisons du pays qui ne pourraient en accueillir qu’aux alentours de dix mille, pourtant. Outre la mise la mise en branle incessamment d’une juste foraine, décreter une large grâce présidentielle est la voie choisie par le Chef de l’Etat pour réduire le nombre de la population carcérale. Les conditions de cette grâce, selon ses dires, sont déjà à l’étude. Le décret y afférent devrait être pris dans « deux ou trois semaines ». Grâce sélective À entendre les explications de Andry Rajoelina, à Fianarantsoa, cette grâce devrait concerner les personnes ayant écopé d’une peine relativement courte, ceux dont les peines d’emprisonnement seraient excessives par rapport aux faits qui leur sont imputés. Les détenus reconnus coupables de crime et détournement de deniers publics ne seront, toutefois, pas concernés par cette grâce, comme l’affirme le Président de la République. Sis à Ambilanikely, à environ 12 kilomètres de la ville de Fianarantsoa, la prison dont les travaux ont été lancés, hier, couvre un total de neuf hectares.