Le corps sans vie d’une femme d’une trentaine d’années a été repêché au fond d’un puits, aux abords d’un nouveau bâtiment, hier après-midi, à Antsapandrano-Ilafy. Sa disparition a été signalée le vendredi 21 septembre suite à un prétendu conflit conjugal, selon les témoignages obtenus. « Depuis, elle n’a pas donné signe de vie. C’était l’odeur puante se dégageant du puits qui a permis à son mari de la retrouver », a relaté un témoin oculaire. Lors d’un appel à témoins sur place par des éléments de la brigade de la gendarmerie d’Ilafy, l’époux de la victime a raconté qu’il a d’abord entendu des cris d’un chat venant de cette fontaine. Puis en s’approchant, il a reniflé des effluves nauséabonds. Il allait aviser tous les voisins pour vérifier ensemble ce qui était dedans. Il s’agissait malheureusement de la dépouille de sa femme au fond. Les gens du quartier, tombés des nues, l’ont aidé à remonter le corps qui ne portait aucune trace apparente de violence, selon les informations obtenues. C’est donc l’enquête menée tambour battant par la gendarmerie qui permettra de connaître les détails sur les causes du décès.
Le corps sans vie d’une femme d’une trentaine d’années a été repêché au fond d’un puits, aux abords d’un nouveau bâtiment, hier après-midi, à Antsapandrano-Ilafy. Sa disparition a été signalée le vendredi 21 septembre suite à un prétendu conflit conjugal, selon les témoignages obtenus. « Depuis, elle n’a pas donné signe de vie. C’était l’odeur puante se dégageant du puits qui a permis à son mari de la retrouver », a relaté un témoin oculaire. Lors d’un appel à témoins sur place par des éléments de la brigade de la gendarmerie d’Ilafy, l’époux de la victime a raconté qu’il a d’abord entendu des cris d’un chat venant de cette fontaine. Puis en s’approchant, il a reniflé des effluves nauséabonds. Il allait aviser tous les voisins pour vérifier ensemble ce qui était dedans. Il s’agissait malheureusement de la dépouille de sa femme au fond. Les gens du quartier, tombés des nues, l’ont aidé à remonter le corps qui ne portait aucune trace apparente de violence, selon les informations obtenues. C’est donc l’enquête menée tambour battant par la gendarmerie qui permettra de connaître les détails sur les causes du décès.