De pire en pire. Une association de malfaiteurs ne fait plus de quartier, vu l’attaque qui a pris pour cible un gendarme hors classe (GHC) en service à la circonscription interrégionale de la Gendarmerie nationale(CIRGN) de Toamasina et un soldat de deuxième classe rattaché au régiment militaire (1/RM3). Les faits se sont déroulés dans le quartier de Salazamay-Sud, un mardi, entre 2 et 3 heures du matin. L’un des brigands cagoulés, équipés de trois kalachnikovs et de cinq armes blanches, était en tenue de policier de patrouille, précise la deuxième victime. Un compte-rendu des enquêteurs, transmis et recueilli au commandement de la gendarmerie, au Toby Ratsimandrava, révèle que le gang a, dans un premier temps, tenté de faire intrusion chez le GHC, mais il n’a pas réussi à y entrer. Après ce coup raté, il s’est déplacé vers sa seconde cible. Là, trois hommes armés dont l’un avait l’allure d’un policier, sont arrivés à défoncer la porte. « À l’intérieur, le trio a vu ma tenue militaire accrochée au mur et mes bottes rangers au sol. Il m’a tout de suite demandé l’emplacement de mon arme, alors que je ne l’ai pas gardée chez moi. Je la récupère chaque matin et la dépose le soir quand je ne travaille pas », raconte le soldat assailli. Comme les trois bandits et leurs complices, restés à l’extérieur pour faire le guet, n’ont rien trouvé, ils l’ont frappé de plusieurs coups de coupe-coupe à la tête. La victime a eu au moins trois estafilades qui ont dû être suturées à l’hôpital. À présent, il suit encore un contrôle médical. Fort heureusement, les bandits n’ont touché ni à sa femme ni à son fils de huit mois, au moment des faits.
De pire en pire. Une association de malfaiteurs ne fait plus de quartier, vu l’attaque qui a pris pour cible un gendarme hors classe (GHC) en service à la circonscription interrégionale de la Gendarmerie nationale(CIRGN) de Toamasina et un soldat de deuxième classe rattaché au régiment militaire (1/RM3). Les faits se sont déroulés dans le quartier de Salazamay-Sud, un mardi, entre 2 et 3 heures du matin. L’un des brigands cagoulés, équipés de trois kalachnikovs et de cinq armes blanches, était en tenue de policier de patrouille, précise la deuxième victime. Un compte-rendu des enquêteurs, transmis et recueilli au commandement de la gendarmerie, au Toby Ratsimandrava, révèle que le gang a, dans un premier temps, tenté de faire intrusion chez le GHC, mais il n’a pas réussi à y entrer. Après ce coup raté, il s’est déplacé vers sa seconde cible. Là, trois hommes armés dont l’un avait l’allure d’un policier, sont arrivés à défoncer la porte. « À l’intérieur, le trio a vu ma tenue militaire accrochée au mur et mes bottes rangers au sol. Il m’a tout de suite demandé l’emplacement de mon arme, alors que je ne l’ai pas gardée chez moi. Je la récupère chaque matin et la dépose le soir quand je ne travaille pas », raconte le soldat assailli. Comme les trois bandits et leurs complices, restés à l’extérieur pour faire le guet, n’ont rien trouvé, ils l’ont frappé de plusieurs coups de coupe-coupe à la tête. La victime a eu au moins trois estafilades qui ont dû être suturées à l’hôpital. À présent, il suit encore un contrôle médical. Fort heureusement, les bandits n’ont touché ni à sa femme ni à son fils de huit mois, au moment des faits.