Ouf. Le rapport de la mission de revue du FMI, conduite par Frédéric Lambert, a rendu son verdict. Même s’il faudra attendre l’avis du Conseil d’administration, au vu du satisfecit du contenu de ce compte-rendu, le décaissement des 48, 88 millions de dollars, seconde tranche des sept de la Facilité élargie de crédit, FEC, d’un montant global de 312 millions de dollars, accordée le 29 mars, est quasi-acquis. Ce qui ne peut que réconforter Rindra Hasimbelo Rabarinirinarison, ministre de l’Économie et des finances, qui compte inclure ces aides d’habitude à la balance de paiements au chapitre des aides budgétaires dans la première mouture du projet de loi de finances initiale, PLFI. Attendu par les députés et sénateurs en pleine session ordinaire, baptisée session budgétaire. Le cas d’Air Madagascar, exclu dans l’Accord de février, a été reconsidéré. Avec un suivi strict des fonds publics à injecter. Ce qui peut remettre en question certains points du Business plan de redressement dévoilé en catimini.
Ouf. Le rapport de la mission de revue du FMI, conduite par Frédéric Lambert, a rendu son verdict. Même s’il faudra attendre l’avis du Conseil d’administration, au vu du satisfecit du contenu de ce compte-rendu, le décaissement des 48, 88 millions de dollars, seconde tranche des sept de la Facilité élargie de crédit, FEC, d’un montant global de 312 millions de dollars, accordée le 29 mars, est quasi-acquis. Ce qui ne peut que réconforter Rindra Hasimbelo Rabarinirinarison, ministre de l’Économie et des finances, qui compte inclure ces aides d’habitude à la balance de paiements au chapitre des aides budgétaires dans la première mouture du projet de loi de finances initiale, PLFI. Attendu par les députés et sénateurs en pleine session ordinaire, baptisée session budgétaire. Le cas d’Air Madagascar, exclu dans l’Accord de février, a été reconsidéré. Avec un suivi strict des fonds publics à injecter. Ce qui peut remettre en question certains points du Business plan de redressement dévoilé en catimini.