La peste continue à faire des victimes. Ankazobe est un foyer pesteux actif, actuellement. Une équipe médicale du district sanitaire d’ Ankazobe s’est déplacée dans un village du district, hier, pour mener une investigation sur des suspicions de peste. Aussitôt informé par le fait, le district sanitaire a, tout de suite, réagi. « Nous avons été informés sur l’existence de cas suspect de peste dans un petit village d’Ankazobe. Nous ne pouvons encore rien vous dire, avant que nos confrères ne nous rapportent ce qu’il y a sur le terrain », souligne un médecin du district. Ce dernier affirme, par ailleurs, un cas de peste, survenu la semaine dernière dans un autre village d’Ankazobe. « La victime s’est déjà rétablie. Elle a souffert d’une peste bubonique », indique la source. Il s’agit du neuvième cas de peste confirmé par l’Institut Pasteur de Madagascar, selon la direction de Veille sanitaire et de surveillance épidémiologique et riposte (DVSSER) du ministère de la Santé publique. Tsiroanomandidy, Ankazobe, entre autres, font partie des districts où des cas ont été enregistrés depuis la saison pesteuse qui a commencé au mois d’août. Renforcer Il n’est pas étonnant que la peste survient dans ces deux districts où les feux de brousse se propagent. Les feux détruisent l’habitat naturel des rats et ces derniers cherchent refuge dans les villages. C’est pourquoi la maladie de peste se transmet chez l’homme. Les activités de veille et de surveillance sont renforcées au niveau de tous les districts sanitaires, notamment, dans les foyers pesteux. La DVSSER indique, par exemple, qu’un post de contrôle sanitaire est fonctionnel dans les zones où des cas de peste sont apparus. Le but étant de contrôler l’état de santé de tous ceux qui se déplacent à l’extérieur du village où la peste a été confirmée, pour éviter que la maladie ne se propage. Au mois d’août, en tout cas, une victime de la peste qui voyageait à bord d’un véhicule de transport en commun a été détectée par des agents d’un post de contrôle sanitaire, à Bemahatazana Tsiroanoman-didy. En août 2017, une victime de la peste en provenance d’Ankazobe a propagé la maladie à Toamasina, à Antananarivo, en voyageant à bord d’un véhicule de transport en commun. « Notre principal objectif est de faire en sorte que très peu de gens meurent d’une maladie quelconque», conclut le Dr Armand Rafalimanantsoa, directeur de la DVSSER.
La peste continue à faire des victimes. Ankazobe est un foyer pesteux actif, actuellement. Une équipe médicale du district sanitaire d’ Ankazobe s’est déplacée dans un village du district, hier, pour mener une investigation sur des suspicions de peste. Aussitôt informé par le fait, le district sanitaire a, tout de suite, réagi. « Nous avons été informés sur l’existence de cas suspect de peste dans un petit village d’Ankazobe. Nous ne pouvons encore rien vous dire, avant que nos confrères ne nous rapportent ce qu’il y a sur le terrain », souligne un médecin du district. Ce dernier affirme, par ailleurs, un cas de peste, survenu la semaine dernière dans un autre village d’Ankazobe. « La victime s’est déjà rétablie. Elle a souffert d’une peste bubonique », indique la source. Il s’agit du neuvième cas de peste confirmé par l’Institut Pasteur de Madagascar, selon la direction de Veille sanitaire et de surveillance épidémiologique et riposte (DVSSER) du ministère de la Santé publique. Tsiroanomandidy, Ankazobe, entre autres, font partie des districts où des cas ont été enregistrés depuis la saison pesteuse qui a commencé au mois d’août. Renforcer Il n’est pas étonnant que la peste survient dans ces deux districts où les feux de brousse se propagent. Les feux détruisent l’habitat naturel des rats et ces derniers cherchent refuge dans les villages. C’est pourquoi la maladie de peste se transmet chez l’homme. Les activités de veille et de surveillance sont renforcées au niveau de tous les districts sanitaires, notamment, dans les foyers pesteux. La DVSSER indique, par exemple, qu’un post de contrôle sanitaire est fonctionnel dans les zones où des cas de peste sont apparus. Le but étant de contrôler l’état de santé de tous ceux qui se déplacent à l’extérieur du village où la peste a été confirmée, pour éviter que la maladie ne se propage. Au mois d’août, en tout cas, une victime de la peste qui voyageait à bord d’un véhicule de transport en commun a été détectée par des agents d’un post de contrôle sanitaire, à Bemahatazana Tsiroanoman-didy. En août 2017, une victime de la peste en provenance d’Ankazobe a propagé la maladie à Toamasina, à Antananarivo, en voyageant à bord d’un véhicule de transport en commun. « Notre principal objectif est de faire en sorte que très peu de gens meurent d’une maladie quelconque», conclut le Dr Armand Rafalimanantsoa, directeur de la DVSSER.