Le cauchemar continue pour les Majungais. Les derniers résultats des tests PCR effectués sur trente quatre personnes révèlent trente trois nouveaux cas confirmés, hier. Un seul cas négatif sur trente quatre tests dimanche. Samedi, dix sept autres cas positifs étaient aussi enregistrés. Si l'on fait le compte, cent soixante cinq personnes sont actuellement testées positives à la pandémie dans la région Boeny, en particulier dans les vingt six fokontany de Mahajanga. Les dernières statistiques officielles du Centre de commandement opérationnel national sont de cent quinze cas vendredi. Au total, trois cent soixante six personnes ont été dépistées à Mahajanga, soixante deux nouveaux tests attendent les résultats. « Il s’agit tous de cas contacts. Désormais, il faut faire preuve d'une grande vigilance », explique un membre du Centre régional de commandement (CRCO) de Boeny, hier. Le président Andry Rajoelina a profité de son passage à Mahajanga pour visiter le Centrte hospitalier universitaire (CHU) de Mahavoky-Atsimo, site de mise en quarantaine. Il y a remis du matériel dont dix concentrateurs d'oxygène et des EPI, et a promis des médicaments pour tous les centres de santé de base. Des remèdes CVO seront également distribués dans ces établissements dans le cadre d’une nouvelle stratégie pour vaincre la pandémie. Radiologie numérique « Un avion amènera deux mille quatre cents remèdes CVO ce jour pour Mahajanga. Nous allons lutter ensemble contre le Coronavirus et nous le vaincrons. La radiologie numérique est aussi fonctionnelle au CHU. Le laboratoire sera spécialement réservés à ceux qui présentent des symptômes », a expliqué Andry Rajoelina. Les deux ministres coachs de la région Boeny, Béatrice Assoumacou de l’Enseignement supérieur et recherche scientifique, et Djacoba Alain Tehindrazanarivelo des Affaires étrangères, restent à Mahajanga pendant quelques jours pour encadrer les membres du CRCO dans la gestion de la crise sanitaire. Hier, un médecin libre a avoué réaliser plusieurs personnes. « Elles ont peur et sont venus » me consulter, mais en général elles n'ont pas montré un signe de fatigue », a confié le médecin.
Le cauchemar continue pour les Majungais. Les derniers résultats des tests PCR effectués sur trente quatre personnes révèlent trente trois nouveaux cas confirmés, hier. Un seul cas négatif sur trente quatre tests dimanche. Samedi, dix sept autres cas positifs étaient aussi enregistrés. Si l'on fait le compte, cent soixante cinq personnes sont actuellement testées positives à la pandémie dans la région Boeny, en particulier dans les vingt six fokontany de Mahajanga. Les dernières statistiques officielles du Centre de commandement opérationnel national sont de cent quinze cas vendredi. Au total, trois cent soixante six personnes ont été dépistées à Mahajanga, soixante deux nouveaux tests attendent les résultats. « Il s’agit tous de cas contacts. Désormais, il faut faire preuve d'une grande vigilance », explique un membre du Centre régional de commandement (CRCO) de Boeny, hier. Le président Andry Rajoelina a profité de son passage à Mahajanga pour visiter le Centrte hospitalier universitaire (CHU) de Mahavoky-Atsimo, site de mise en quarantaine. Il y a remis du matériel dont dix concentrateurs d'oxygène et des EPI, et a promis des médicaments pour tous les centres de santé de base. Des remèdes CVO seront également distribués dans ces établissements dans le cadre d’une nouvelle stratégie pour vaincre la pandémie. Radiologie numérique « Un avion amènera deux mille quatre cents remèdes CVO ce jour pour Mahajanga. Nous allons lutter ensemble contre le Coronavirus et nous le vaincrons. La radiologie numérique est aussi fonctionnelle au CHU. Le laboratoire sera spécialement réservés à ceux qui présentent des symptômes », a expliqué Andry Rajoelina. Les deux ministres coachs de la région Boeny, Béatrice Assoumacou de l’Enseignement supérieur et recherche scientifique, et Djacoba Alain Tehindrazanarivelo des Affaires étrangères, restent à Mahajanga pendant quelques jours pour encadrer les membres du CRCO dans la gestion de la crise sanitaire. Hier, un médecin libre a avoué réaliser plusieurs personnes. « Elles ont peur et sont venus » me consulter, mais en général elles n'ont pas montré un signe de fatigue », a confié le médecin.