Les enseignants envisagent une table ronde avec le Premier ministre, Christian Ntsay, pour éclaircir une fois encore la situation. « Nous étions huit représentants dans le comité de suivi qui a été établi. Six d’entre nous ont accepté la convention du paiement en trois tranches. Nous étions reçus par ses conseillers. Nous voudrions faire un face-à face car peut-être que le Premier Ministre n’a pas bien compris les réels problèmes des enseignants. Il faut aussi préciser qu’il n’y a aucune arrière-pensée politique dans nos revendications », explique Arsène Ratolojanahary, président du Sempama Nosy, hier, au parvis du ministère de l’Education nationale (Men). Les enseignants membres du Sempama Nosy et du Sifema ont été appuyés par les étudiants normaliens, hier. Prêts pour les rattrapages Les enseignants ne retourneront pas travailler jusqu’à ce que les réponses à leurs demandes ne soient satisfaisantes. « Au moment où nous recevrons ce que nous avons demandé, nous reprendrons les cours », ajoute-t-il. Les enseignants pensent encore à reporter les examens d’un mois, même le CEPE. Bon nombre d’élèves n’ont pas eu cours depuis trois mois surtout dans les régions et à Tanà ville. Or les enseignants sont prêts pour les rattrapages, une fois ces problèmes résolus.
Les enseignants envisagent une table ronde avec le Premier ministre, Christian Ntsay, pour éclaircir une fois encore la situation. « Nous étions huit représentants dans le comité de suivi qui a été établi. Six d’entre nous ont accepté la convention du paiement en trois tranches. Nous étions reçus par ses conseillers. Nous voudrions faire un face-à face car peut-être que le Premier Ministre n’a pas bien compris les réels problèmes des enseignants. Il faut aussi préciser qu’il n’y a aucune arrière-pensée politique dans nos revendications », explique Arsène Ratolojanahary, président du Sempama Nosy, hier, au parvis du ministère de l’Education nationale (Men). Les enseignants membres du Sempama Nosy et du Sifema ont été appuyés par les étudiants normaliens, hier. Prêts pour les rattrapages Les enseignants ne retourneront pas travailler jusqu’à ce que les réponses à leurs demandes ne soient satisfaisantes. « Au moment où nous recevrons ce que nous avons demandé, nous reprendrons les cours », ajoute-t-il. Les enseignants pensent encore à reporter les examens d’un mois, même le CEPE. Bon nombre d’élèves n’ont pas eu cours depuis trois mois surtout dans les régions et à Tanà ville. Or les enseignants sont prêts pour les rattrapages, une fois ces problèmes résolus.