Le groupe Jeneraly nouvelle formule a, une fois de plus, sublimé le public du Piment Café. Une revue de plus des réalités d’un autre moment. Avec cet inébranlable dynamisme, accompagné de ce visage souriant, Andy Andriamampanana porte fièrement l’image du mythique groupe Jeneraly. La bande a donné rendez-vous à ses suiveurs vendredi dernier. Le Piment Café Behoririka a été le point de ralliement pour quelques centaines de mélomanes noctambules. Cette nuit-là, un air de nostalgie a plané dans tout le cabaret. Difficile de ne pas tomber sous le charme de l’ambiance de la petite salle. En digne successeur du fondateur du groupe, Andy s’est approprié le rôle de leader à la perfection. Son outil de travail, son micro. À côté de lui, les grands vétérans sont toujours au top. Benja à la basse ou encore Rakema à la guitare solo. Le tout rassemblé a donné un cocktail musical détonant qui n'a pas manqué de rappeler, aux plus anciens, les cabarets d’autrefois avec ce bon vieux Gabhy. De ce fait, le froid hivernal qui sévit ces temps-ci n’a pas découragé les fans du groupe à venir en masse pour apprécier ces moments de nostalgie, pour finir la semaine en beauté. Toujours au plus proche du public, Andy a assuré avec les « Mopera », « Isika roa », « Dadabe » ou encore « Mbay làlana ». Nostalgie et euphorie Le chanteur a joué la carte de la modestie en s’appropriant le gestuel de feu l’illustre Gabhy, tout en y apportant une grosse pincée de jeunesse. Cependant, ce n’est qu’avec les titres « Toaka » et « Zany vehivavy zany » que l’euphorie a été réellement ressentie dans le public. Sur ces deux morceaux, le public a naturellement pris le relais, à tel point que le jeune Andy n’a plus eu besoin de son précieux micro. Quelques heures vécues comme un voyage dans le temps pour certains. En effet, beaucoup avoueront que lorsqu’Andy s’empare de son micro, le jeune chanteur a le don de transporter tout son auditoire à ces belles époques où les chansons à texte véhiculées par son groupe étaient reines. « Gabhy peut être fier de son héritier », a affirmé Alain Pierre Andriamarofahitra, grand fan du groupe. Harilalaina Rakotobe
Le groupe Jeneraly nouvelle formule a, une fois de plus, sublimé le public du Piment Café. Une revue de plus des réalités d’un autre moment. Avec cet inébranlable dynamisme, accompagné de ce visage souriant, Andy Andriamampanana porte fièrement l’image du mythique groupe Jeneraly. La bande a donné rendez-vous à ses suiveurs vendredi dernier. Le Piment Café Behoririka a été le point de ralliement pour quelques centaines de mélomanes noctambules. Cette nuit-là, un air de nostalgie a plané dans tout le cabaret. Difficile de ne pas tomber sous le charme de l’ambiance de la petite salle. En digne successeur du fondateur du groupe, Andy s’est approprié le rôle de leader à la perfection. Son outil de travail, son micro. À côté de lui, les grands vétérans sont toujours au top. Benja à la basse ou encore Rakema à la guitare solo. Le tout rassemblé a donné un cocktail musical détonant qui n'a pas manqué de rappeler, aux plus anciens, les cabarets d’autrefois avec ce bon vieux Gabhy. De ce fait, le froid hivernal qui sévit ces temps-ci n’a pas découragé les fans du groupe à venir en masse pour apprécier ces moments de nostalgie, pour finir la semaine en beauté. Toujours au plus proche du public, Andy a assuré avec les « Mopera », « Isika roa », « Dadabe » ou encore « Mbay làlana ». Nostalgie et euphorie Le chanteur a joué la carte de la modestie en s’appropriant le gestuel de feu l’illustre Gabhy, tout en y apportant une grosse pincée de jeunesse. Cependant, ce n’est qu’avec les titres « Toaka » et « Zany vehivavy zany » que l’euphorie a été réellement ressentie dans le public. Sur ces deux morceaux, le public a naturellement pris le relais, à tel point que le jeune Andy n’a plus eu besoin de son précieux micro. Quelques heures vécues comme un voyage dans le temps pour certains. En effet, beaucoup avoueront que lorsqu’Andy s’empare de son micro, le jeune chanteur a le don de transporter tout son auditoire à ces belles époques où les chansons à texte véhiculées par son groupe étaient reines. « Gabhy peut être fier de son héritier », a affirmé Alain Pierre Andriamarofahitra, grand fan du groupe. Harilalaina Rakotobe