Ouf de soulagement. Sain et sauf, un bouvier a pu retrouver les siens grâce à l’intervention des éléments des forces de la police, samedi 23 mars, à Ihosy. Il a été retenu en otage par quatorze dahalo, armés jusqu’aux dents qui ont investi deux fokontany, Bemandresy et Androtsy, dans la commune rurale d’Ambia le weekend dernier. C’est une scène digne d’un film qui s’est produite dans cette invasion surchargée de coups de feu. En fait, la bande était équipée de sept fusils de chasse. D’emblée, elle a fait plusieurs tirs en l’air pour intimider les villageois. Puis, elle a dérobé vingt-deux zébus avant de prendre le cow-boy en otage. Heureusement, ils sont repartis sans faire de blessé, selon les informations recueillies. Dans un sauve-qui-peut, les habitants ont immédiatement prévenu la police qui a dépêché ses hommes sur le champ. Ces derniers ont intercepté les malfaiteurs. « Ces dahalo ont tout de suite abandonné leur butin et libéré l’otage dès qu’ils ont aperçu les éléments d’intervention », décrit le service de l’information, de la communication et des relations avec les instutitions (Sicri)
Ouf de soulagement. Sain et sauf, un bouvier a pu retrouver les siens grâce à l’intervention des éléments des forces de la police, samedi 23 mars, à Ihosy. Il a été retenu en otage par quatorze dahalo, armés jusqu’aux dents qui ont investi deux fokontany, Bemandresy et Androtsy, dans la commune rurale d’Ambia le weekend dernier. C’est une scène digne d’un film qui s’est produite dans cette invasion surchargée de coups de feu. En fait, la bande était équipée de sept fusils de chasse. D’emblée, elle a fait plusieurs tirs en l’air pour intimider les villageois. Puis, elle a dérobé vingt-deux zébus avant de prendre le cow-boy en otage. Heureusement, ils sont repartis sans faire de blessé, selon les informations recueillies. Dans un sauve-qui-peut, les habitants ont immédiatement prévenu la police qui a dépêché ses hommes sur le champ. Ces derniers ont intercepté les malfaiteurs. « Ces dahalo ont tout de suite abandonné leur butin et libéré l’otage dès qu’ils ont aperçu les éléments d’intervention », décrit le service de l’information, de la communication et des relations avec les instutitions (Sicri)