Les familles des personnes en situation de handicap sont en difficulté. Le nombre des centres de prise en charge des personnes en situation de handicap ne couvre pas les besoins. « Il n’y a que trente établissements à Antananarivo, selon des chiffres non officiels. Ce n’est pas suffisant, vu le nombre des personnes handicapées qui ne sont prises en charge nulle part », indique Miaritiana Razafindrakoto, présidente de l’association Sombiniaina, qui participe au bien-être des personnes en situation de handicap, en collaboration avec le groupe ADD Gasy, un groupe musical qui œuvre dans l’humanitaire. C’était à Antanimena, mercredi, lors de la distribution de jouets et de produits de première nécessité, à cents enfants en situation de handicap et leur famille. En plus de l’insuffisance des établissements, le coût de la prise en charge est cher. Le fils de Florentine Rambolarisoa, âgé de 10 ans, est un handicapé mental. L’enfant ne peut pas se tenir debout, il ne parle pas. Le niveau de vie de la famille ne lui permet pas de donner à l’enfant, les soins nécessaires. « C’est un organisme non gouvernemental (ONG) qui s’occupe de la prise en charge de mon enfant, en ce moment. Son état s’améliore. Sans cette ONG, je ne sais pas ce qu’on aurait fait, car les soins coûtent chers, alors que je ne travaille pas. Je dois m’occuper de lui », témoigne cette mère de famille, mercredi. Le coût des soins dépend d’un handicap à l’autre. « Il peut coûter jusqu’à un million par mois », rajoute Miaritiana Razafindrakoto. L’association Sombiniaina compte ouvrir un centre de jour pour la prise en charge des personnes en situation d’handicap mental ou intellectuel modéré, au mois de janvier 2021. « Notre objectif est d’aider ces enfants à s’épanouir, selon leur capacité », conclut Miaritiana Razafindrakoto.
Les familles des personnes en situation de handicap sont en difficulté. Le nombre des centres de prise en charge des personnes en situation de handicap ne couvre pas les besoins. « Il n’y a que trente établissements à Antananarivo, selon des chiffres non officiels. Ce n’est pas suffisant, vu le nombre des personnes handicapées qui ne sont prises en charge nulle part », indique Miaritiana Razafindrakoto, présidente de l’association Sombiniaina, qui participe au bien-être des personnes en situation de handicap, en collaboration avec le groupe ADD Gasy, un groupe musical qui œuvre dans l’humanitaire. C’était à Antanimena, mercredi, lors de la distribution de jouets et de produits de première nécessité, à cents enfants en situation de handicap et leur famille. En plus de l’insuffisance des établissements, le coût de la prise en charge est cher. Le fils de Florentine Rambolarisoa, âgé de 10 ans, est un handicapé mental. L’enfant ne peut pas se tenir debout, il ne parle pas. Le niveau de vie de la famille ne lui permet pas de donner à l’enfant, les soins nécessaires. « C’est un organisme non gouvernemental (ONG) qui s’occupe de la prise en charge de mon enfant, en ce moment. Son état s’améliore. Sans cette ONG, je ne sais pas ce qu’on aurait fait, car les soins coûtent chers, alors que je ne travaille pas. Je dois m’occuper de lui », témoigne cette mère de famille, mercredi. Le coût des soins dépend d’un handicap à l’autre. « Il peut coûter jusqu’à un million par mois », rajoute Miaritiana Razafindrakoto. L’association Sombiniaina compte ouvrir un centre de jour pour la prise en charge des personnes en situation d’handicap mental ou intellectuel modéré, au mois de janvier 2021. « Notre objectif est d’aider ces enfants à s’épanouir, selon leur capacité », conclut Miaritiana Razafindrakoto.