Appelée à intervenir dans un domicile à Andraisoro Andavapananana, le 22 novembre vers 19 heures, la police du troisième arrondissement est tombée sur deux contrefacteurs de cachets d’État. Ce soir-là, une dame a alerté les forces de l’ordre après que son mari l’a torturée. « À l’arrivée des policiers, son conjoint était complètement ivre et ne s’est souvenu de rien sur ce qu’il venait de commettre », selon les informations judiciaires. Dénoncé par sa propre femme, ce principal suspect a été fouillé. L’on a découvert différents cachets d’État chez lui, contenant des noms de hauts responsables. « La mère de famille ne savait rien sur ces tampons. Depuis tout ce temps, elle se méfie de ce que mijotent son mari avec un collègue qui était, lui aussi, présent à ce moment-là », racontent les fins enquêteurs. À première vue, ces sceaux truqués ont déjà été utilisés. Le bourreau et son coauteur ont, alors, été embarqués et cuisinés au commis- sariat de la sécurité publique d’Antaninandro. Au fil de l’enquête, tous les deux ont refusé de donner la raison pour laquelle ils détiennent ces faux cachets.
Appelée à intervenir dans un domicile à Andraisoro Andavapananana, le 22 novembre vers 19 heures, la police du troisième arrondissement est tombée sur deux contrefacteurs de cachets d’État. Ce soir-là, une dame a alerté les forces de l’ordre après que son mari l’a torturée. « À l’arrivée des policiers, son conjoint était complètement ivre et ne s’est souvenu de rien sur ce qu’il venait de commettre », selon les informations judiciaires. Dénoncé par sa propre femme, ce principal suspect a été fouillé. L’on a découvert différents cachets d’État chez lui, contenant des noms de hauts responsables. « La mère de famille ne savait rien sur ces tampons. Depuis tout ce temps, elle se méfie de ce que mijotent son mari avec un collègue qui était, lui aussi, présent à ce moment-là », racontent les fins enquêteurs. À première vue, ces sceaux truqués ont déjà été utilisés. Le bourreau et son coauteur ont, alors, été embarqués et cuisinés au commis- sariat de la sécurité publique d’Antaninandro. Au fil de l’enquête, tous les deux ont refusé de donner la raison pour laquelle ils détiennent ces faux cachets.