Commerce - Le « Black Friday » encore incompris


Le phénomène a inspiré des commerçants tananariviens. Mais « Black Friday » n’a pas donné l’effet escom­pté hier. Traduit littéralement par « vendredi noir » ou encore « vendredi fou », il consiste à marquer le coup d’envoi de la période des achats de fin d’année. Cette action marketing constitue un événement commercial rentable aux Etats-unis ou au Canada car se déroule au lendemain du « Thanks­giving » ou jour d’action de grâce, pendant lequel des soldes sont proposés pour inciter au grand shopping de fin d’année. Des concessionnaires automobiles basés dans la capitale ont alors proposé des soldes sur des pièces détachées. Un Business center par exemple a offert jusqu’à moins 50% dans la facilitation des co-working telle la location d’espaces de travail. De nombreuses sociétés se disant « ventes en ligne » ont inondé les réseaux sociaux pour proposer des offres. Des supermarchés, des magasins de mode également. « Je suis sorti du supermarché avec une boite de céréales. Je pensais acheter d’autres choses mais 99% des produits n’étaient pas touchés par la remise », témoigne Pascal Fanomezana.
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