Francophonie - Prix pour les jeunes entrepreneurs


L’OIF laisse une opportunité au start-up pour qu’il bénéficie d’un appui financier via la création d’un prix annuel pour les jeunes entrepreneurs. Une opportunité pour les start-up francophones. L’Organisation internationale de la Franco­phonie (OIF) avec le gouvernement de la Province du Nouveau Brunswick (Canada) viennent d’annoncer la création du Prix du jeune entrepreneur afin de récompenser l’excellence des jeunes francophones dans le monde des affaires. « Nous sommes très fiers d’annoncer aujourd’hui la création d’un prix annuel, pour les jeunes entrepreneurs. L’objectif est, bien sûr, d’encourager la culture entrepreneuriale de nos jeunes à travers la Francophonie, mais c’est aussi une autre façon de bénéficier de l’expertise d’un mentorat », a déclaré hier Brian Gallant, Premier ministre du Nouveau Brunswick. Comme son nom l’indique, ce prix est réservé aux jeunes entrepreneurs âgés de moins de 35 ans originaires de l’un des États ou  gouvernement, membres de l’OIF.  Selon les informations recueillies auprès de cette organisation, les critères d’évaluation des candidatures seront le rendement financier, la vision et l’esprit d’entreprise, l’innovation, la contribution à l’économie verte et la responsabilité sociale. Le lauréat bénéficiera d’un appui financier à hauteur de 25 000 dollars et d’un accompagnement dans le développement de ses projets avec un mentorat. Place de la jeunesse La contribution de la Province de Nouveau Brunswick à ce prix, est la suite logique de son accueil du sommet de 1999. Dans la ville de Moncton, les chefs d’État et de gouvernement ont discuté autour de la place de la jeunesse dans la Francophonie. « Le bureau régional de la Francophonie à Moncton est plutôt axé sur la jeunesse », soutient le chef du gouvernement de cette province canadienne. Nouveau Brunswick dispose bien évidemment de plusieurs expériences sur le monde des affaires auprès de la jeunesse. « Les jeunes sont des forces vives sans lesquelles rien n’est possible », a déclaré Michaëlle Jean, secrétaire générale de la Francophonie lors d’une visite effectuée, hier matin, au Salon de l’industrie de Madagascar (SIM). Lova Rafidiarisoa
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