Du fil à retordre. Traduits devant le pôle anti-corruption (PAC) aux 67 ha, samedi, pour l’enlèvement aggravé du viol d’une fillette de dix-sept ans, un homme de quarante-six ans et son épouse ont été placés en détention préventive. Inculpé en tant qu’auteur principal présumé, le chef de famille est incarcéré à la maison de force de Tsiafahy. Mouillée dans cette affaire pour complicité, l’épouse du quadragénaire est, pour sa part, détenue à la maison centrale d’Antanimora . L’étau s’est resserré autour de celle-ci pour avoir essayé de cacher son mari, alors que les gendarmes le recherchaient. Tentative d’arrangement À toutes ces charges s’ajoutent une affaire de corruption. Une somme d’un montant de six millions d’ariary qui, d’après la version de la gendarmerie, allait être versée au commandant de la compagnie d’Ambohidratrimo en guise de pot-de-vin pour que ce dernier étouffe l’affaire a, par ailleurs, été présentée devant le PAC. L’affaire devait être instruite jeudi par le Parquet près tribunal de première instance à Antananarivo. Cette juridiction s’en était par ailleurs dessaisie pour transmettre le dossier au PAC, lorsque l’affaire de corruption a surgi, lors des enquêtes préliminaires. La gendarmerie a clôturé le dossier au terme d’une investigation qui a duré quatre jours. Le principal suspect, qui n’est autre que le chauffeur d’une 4x4 de marque Sang Young Rexton à bord de laquelle la fillette a été enlevée puis violée, a tenté un arrangement alors qu’il était en fuite, mais cela n’a pas abouti. Suivi à la trace par les hommes de la compagnie territoriale de la gendarmerie nationale à Ambohidratrimo, il s’est fait cueillir à Mandriambero, le lundi 16 septembre lorsque les limiers l’ont hameçonné. Le fugitif était accompagné d’une personnalité importante qui allait intercéder en sa faveur, mais la démarche a également échoué. Le passage au parquet, suivi de mise en détention préventive, s’ensuivaient alors.
Du fil à retordre. Traduits devant le pôle anti-corruption (PAC) aux 67 ha, samedi, pour l’enlèvement aggravé du viol d’une fillette de dix-sept ans, un homme de quarante-six ans et son épouse ont été placés en détention préventive. Inculpé en tant qu’auteur principal présumé, le chef de famille est incarcéré à la maison de force de Tsiafahy. Mouillée dans cette affaire pour complicité, l’épouse du quadragénaire est, pour sa part, détenue à la maison centrale d’Antanimora . L’étau s’est resserré autour de celle-ci pour avoir essayé de cacher son mari, alors que les gendarmes le recherchaient. Tentative d’arrangement À toutes ces charges s’ajoutent une affaire de corruption. Une somme d’un montant de six millions d’ariary qui, d’après la version de la gendarmerie, allait être versée au commandant de la compagnie d’Ambohidratrimo en guise de pot-de-vin pour que ce dernier étouffe l’affaire a, par ailleurs, été présentée devant le PAC. L’affaire devait être instruite jeudi par le Parquet près tribunal de première instance à Antananarivo. Cette juridiction s’en était par ailleurs dessaisie pour transmettre le dossier au PAC, lorsque l’affaire de corruption a surgi, lors des enquêtes préliminaires. La gendarmerie a clôturé le dossier au terme d’une investigation qui a duré quatre jours. Le principal suspect, qui n’est autre que le chauffeur d’une 4x4 de marque Sang Young Rexton à bord de laquelle la fillette a été enlevée puis violée, a tenté un arrangement alors qu’il était en fuite, mais cela n’a pas abouti. Suivi à la trace par les hommes de la compagnie territoriale de la gendarmerie nationale à Ambohidratrimo, il s’est fait cueillir à Mandriambero, le lundi 16 septembre lorsque les limiers l’ont hameçonné. Le fugitif était accompagné d’une personnalité importante qui allait intercéder en sa faveur, mais la démarche a également échoué. Le passage au parquet, suivi de mise en détention préventive, s’ensuivaient alors.