À quelques mois du sommet de la Francophonie, le financement des travaux dans le cadre de cet évènement fait toujours l’objet d’une vive polémique. Les 89,6 milliards d’ariary de prêt de la Chine annoncés initialement dans la loi des finances initiale ont été réduits dans le budget rectificatif à quelque neuf milliards d’ariary. Ce budget concerne les travaux de réhabilitation de la route Ivato Tsarasaotra, du boulevard de l’Europe et du village de la Francophonie à Antananarivo. Narson Rafidimanana, ministre auprès de la Présidence chargé des projets présidentiels, de l’aménagement du territoire et de l’équipement a annoncé que « ces projets sont financés par le système de partenariat public privé (3P) », sans pourtant préciser les parts de contribution de chaque entité. Dons Où l’État peut-il trouver les liasses nécessaires pour sa part Joint au téléphone, le numéro deux du gouvernement évoque « des dons pour certains travaux ». Dans la loi des Finances rectificative, le secteur infrastructure bénéficie de 27,4% des 1 682 milliards d’ariary de l’enveloppe budgétaire du programme d’investissement public (PIP). Ces travaux sont confiés à la société chinoise China Harbour Engineering Company (CHEC) qui est, en une année, devenue « l’entreprise partenaire de l’État » pour ses différents projets. À part ces projets entrant dans le cadre de l’accueil du sommet de la Francophonie, cette société chinoise avait aussi signé un contrat de onze millions de dollars pour la réhabilitation d’un camp pour l’armée de l’air, ainsi qu’un marché de plus d’un milliard de dollars dans le Port de Toamasina. Le prochain sommet de la Francophonie se tiendra à Antananarivo dans quatre mois, plus exactement du 22 au 27 novembre. Cet événement mondial verra la participation de trois mille deux cents personnes issues de quatre-vingt pays. Autant de chefs d’État et de gouvernement, dont vingt-deux issus de pays européens sont également attendus dans la capitale malgache. L.R.
À quelques mois du sommet de la Francophonie, le financement des travaux dans le cadre de cet évènement fait toujours l’objet d’une vive polémique. Les 89,6 milliards d’ariary de prêt de la Chine annoncés initialement dans la loi des finances initiale ont été réduits dans le budget rectificatif à quelque neuf milliards d’ariary. Ce budget concerne les travaux de réhabilitation de la route Ivato Tsarasaotra, du boulevard de l’Europe et du village de la Francophonie à Antananarivo. Narson Rafidimanana, ministre auprès de la Présidence chargé des projets présidentiels, de l’aménagement du territoire et de l’équipement a annoncé que « ces projets sont financés par le système de partenariat public privé (3P) », sans pourtant préciser les parts de contribution de chaque entité. Dons Où l’État peut-il trouver les liasses nécessaires pour sa part Joint au téléphone, le numéro deux du gouvernement évoque « des dons pour certains travaux ». Dans la loi des Finances rectificative, le secteur infrastructure bénéficie de 27,4% des 1 682 milliards d’ariary de l’enveloppe budgétaire du programme d’investissement public (PIP). Ces travaux sont confiés à la société chinoise China Harbour Engineering Company (CHEC) qui est, en une année, devenue « l’entreprise partenaire de l’État » pour ses différents projets. À part ces projets entrant dans le cadre de l’accueil du sommet de la Francophonie, cette société chinoise avait aussi signé un contrat de onze millions de dollars pour la réhabilitation d’un camp pour l’armée de l’air, ainsi qu’un marché de plus d’un milliard de dollars dans le Port de Toamasina. Le prochain sommet de la Francophonie se tiendra à Antananarivo dans quatre mois, plus exactement du 22 au 27 novembre. Cet événement mondial verra la participation de trois mille deux cents personnes issues de quatre-vingt pays. Autant de chefs d’État et de gouvernement, dont vingt-deux issus de pays européens sont également attendus dans la capitale malgache. L.R.