Seulement une dizaine de spécialistes en anatomie cytologie pathologiques sont actifs dans tout le pays. L’effectif est minime face au nombre de la population actuellement. C’est ce qui a été constaté durant le congrès sur la place de l’anatomie, et cytologie Pathologiques dans la prise en charge des malades, à l’Académie Malgache Tsimbazaza hier. Les spécialistes sont d’autant plus importantes surtout dans le cadre du dépistage et du diagnostic par le biais des microscopes. « Notre rôle est d’appuyer la démarche pour détecter toute sorte de maladies, comme le cancer ou les tumeurs », indique le professeur Nantenaina Soa Randrianjafisamindrakotroka, Président de la Société Malgache de la pathologie. Ce sous-effectif se justifie par le recrutement des spécialistes, mais également par la longueur du cursus pour arriver à être spécialiste dans ce domaine. « Un spécialiste devrait effectuer un cursus de trois ans après l’étude de huit ans en médecine, de plus par voie de concours, les doctorants admis sont de moins en moins nombreux » affirme le Professeur Hanta Marie Danielle Vololontiana, Doyen de la Faculté de médecine au niveau de l’université d’Antananarivo. En outre, les postes à pourvoir par l’État sont également mis en cause.
Seulement une dizaine de spécialistes en anatomie cytologie pathologiques sont actifs dans tout le pays. L’effectif est minime face au nombre de la population actuellement. C’est ce qui a été constaté durant le congrès sur la place de l’anatomie, et cytologie Pathologiques dans la prise en charge des malades, à l’Académie Malgache Tsimbazaza hier. Les spécialistes sont d’autant plus importantes surtout dans le cadre du dépistage et du diagnostic par le biais des microscopes. « Notre rôle est d’appuyer la démarche pour détecter toute sorte de maladies, comme le cancer ou les tumeurs », indique le professeur Nantenaina Soa Randrianjafisamindrakotroka, Président de la Société Malgache de la pathologie. Ce sous-effectif se justifie par le recrutement des spécialistes, mais également par la longueur du cursus pour arriver à être spécialiste dans ce domaine. « Un spécialiste devrait effectuer un cursus de trois ans après l’étude de huit ans en médecine, de plus par voie de concours, les doctorants admis sont de moins en moins nombreux » affirme le Professeur Hanta Marie Danielle Vololontiana, Doyen de la Faculté de médecine au niveau de l’université d’Antananarivo. En outre, les postes à pourvoir par l’État sont également mis en cause.