En près de 20 ans de scène, Tovo J’hay n’a rien perdu de son charme. Vendredi soir au Trass, il a joué la carte de la maturité. De mémoire, cela fait près de 6 mois que le prince du Rn’B n’a pas foulé le sol, ou plutôt la scène de Tsiadana. Naturellement, un cabaret, un vendredi soir avec un Tovo J’hay ne peut que ravir les convives. Une soirée durant laquelle le chanteur a, bien sûr, usé et abusé de son charme et de sa simplicité pour émerveiller ses suiveurs. En effet, Tovo j’hay a, une fois de plus, comblé les attentes de son public. Ce dernier est venu en masse pour honorer le rendez-vous proposé par le chanteur, dans ce jardin de détente qu’est le Trass. Bien entendu, comme à chaque représentation du chanteur charmeur, l’assistance se compose le plus souvent et majoritairement de jeunes demoiselles. Ces dernières se retrouvent toujours dans cet état euphorique chaque fois que l’artiste esquisse un de ces sourires dont il a le secret. Ainsi, aux premières notes de « Raha toa ianao ka tia mozika », la gente féminine se fait entendre sans attendre. Un chœur inattendu qui a eu pour seul effet d’étonner le chanteur. Ce dernier, jouant le jeu, a laissé un bon moment le micro à son public. L’ambiance n’est plus descendue jusqu’à la fin de la soirée. Sans répit Mieux, sur le titre « Romotra fitia » il fut quasi impossible pour certaines de ces dames de rester assises. Nombreuses sont celles qui se sont ruées sur la piste de danse en entraînant leurs compagnons, qui n’avaient visiblement pas le même enthousiasme que leurs amies. Bref, des retrouvailles qui ont été réellement vécues dans la joie et l’allégresse pour les fans du chanteur. Le public de toutes les générations s’est délecté jusqu’à la dernière note, sans laisser au chanteur une seule minute de répit. Tovo J’hay, assurément, a beaucoup gagné en maturité, à l’image d’une prestation sans faille, sans compter la petite barbe au menton. « Une semaine qui finit par la plus agréable des façons, on regrette juste qu’il ait pris plus de dix minutes de pause lors de l’entracte, ce fut une attente interminable pour nous », s’est enthousiasmée Marie Claude Sandrah, une inconditionnelle du chanteur. Harilalaina Rakotobe
En près de 20 ans de scène, Tovo J’hay n’a rien perdu de son charme. Vendredi soir au Trass, il a joué la carte de la maturité. De mémoire, cela fait près de 6 mois que le prince du Rn’B n’a pas foulé le sol, ou plutôt la scène de Tsiadana. Naturellement, un cabaret, un vendredi soir avec un Tovo J’hay ne peut que ravir les convives. Une soirée durant laquelle le chanteur a, bien sûr, usé et abusé de son charme et de sa simplicité pour émerveiller ses suiveurs. En effet, Tovo j’hay a, une fois de plus, comblé les attentes de son public. Ce dernier est venu en masse pour honorer le rendez-vous proposé par le chanteur, dans ce jardin de détente qu’est le Trass. Bien entendu, comme à chaque représentation du chanteur charmeur, l’assistance se compose le plus souvent et majoritairement de jeunes demoiselles. Ces dernières se retrouvent toujours dans cet état euphorique chaque fois que l’artiste esquisse un de ces sourires dont il a le secret. Ainsi, aux premières notes de « Raha toa ianao ka tia mozika », la gente féminine se fait entendre sans attendre. Un chœur inattendu qui a eu pour seul effet d’étonner le chanteur. Ce dernier, jouant le jeu, a laissé un bon moment le micro à son public. L’ambiance n’est plus descendue jusqu’à la fin de la soirée. Sans répit Mieux, sur le titre « Romotra fitia » il fut quasi impossible pour certaines de ces dames de rester assises. Nombreuses sont celles qui se sont ruées sur la piste de danse en entraînant leurs compagnons, qui n’avaient visiblement pas le même enthousiasme que leurs amies. Bref, des retrouvailles qui ont été réellement vécues dans la joie et l’allégresse pour les fans du chanteur. Le public de toutes les générations s’est délecté jusqu’à la dernière note, sans laisser au chanteur une seule minute de répit. Tovo J’hay, assurément, a beaucoup gagné en maturité, à l’image d’une prestation sans faille, sans compter la petite barbe au menton. « Une semaine qui finit par la plus agréable des façons, on regrette juste qu’il ait pris plus de dix minutes de pause lors de l’entracte, ce fut une attente interminable pour nous », s’est enthousiasmée Marie Claude Sandrah, une inconditionnelle du chanteur. Harilalaina Rakotobe