Une organisation citoyenne aidant les réfugiés à trouver du travail et à monter une affaire au Luxembourg prend de plus en plus d'ampleur après avoir reçu le financement pour deux postes de coordinateurs à temps plein. « Les Connections » a démarré en janvier 2016 avec une réunion d'information informelle destinée à débattre sur les améliorations possibles de l’accueil et de l’inté- gration des nouveaux arrivants au Luxembourg. Après avoir reçu un retour singulier, « Les Connections » ont réuni 230 000 € de financements pour engager des personnes destinées à offrir des formations et des ateliers aux demandeurs d'asile. Alors que des projets similaires existent au Luxembourg, l'association se différencie par l'aide qu'elle apporte aux réfugiés au moment où ils en ont le plus besoin : lorsqu'ils attendent une réponse à leur demande d'asile. Certains postulants doivent attendre plusieurs années pour obtenir une réponse et bien qu'il leur soit possible de travailler dans les six mois qui suivent leur enregistrement au Luxembourg, beaucoup manquent de connaissances et de l'appui nécessaire à l'obtention d'une formation leur permettant de commencer à travailler. « Une personne (participant aux cours) m'a dit qu'elle n'est désormais plus déprimée parce qu'elle a quelque chose à faire et qu'elle a l'espoir de trouver du travail. Ça m'a vraiment touché qu'elle me dise ça », déclare Zina Menhal, coordinatrice au sein des « Connections » et elle-même ancienne réfugiée. Jess Bauldry (Luxemburger Wort)
Une organisation citoyenne aidant les réfugiés à trouver du travail et à monter une affaire au Luxembourg prend de plus en plus d'ampleur après avoir reçu le financement pour deux postes de coordinateurs à temps plein. « Les Connections » a démarré en janvier 2016 avec une réunion d'information informelle destinée à débattre sur les améliorations possibles de l’accueil et de l’inté- gration des nouveaux arrivants au Luxembourg. Après avoir reçu un retour singulier, « Les Connections » ont réuni 230 000 € de financements pour engager des personnes destinées à offrir des formations et des ateliers aux demandeurs d'asile. Alors que des projets similaires existent au Luxembourg, l'association se différencie par l'aide qu'elle apporte aux réfugiés au moment où ils en ont le plus besoin : lorsqu'ils attendent une réponse à leur demande d'asile. Certains postulants doivent attendre plusieurs années pour obtenir une réponse et bien qu'il leur soit possible de travailler dans les six mois qui suivent leur enregistrement au Luxembourg, beaucoup manquent de connaissances et de l'appui nécessaire à l'obtention d'une formation leur permettant de commencer à travailler. « Une personne (participant aux cours) m'a dit qu'elle n'est désormais plus déprimée parce qu'elle a quelque chose à faire et qu'elle a l'espoir de trouver du travail. Ça m'a vraiment touché qu'elle me dise ça », déclare Zina Menhal, coordinatrice au sein des « Connections » et elle-même ancienne réfugiée. Jess Bauldry (Luxemburger Wort)