Évacué à l'hôpital, un motocycliste est décédé samedi. La gendarmerie a dit qu'il a eu un accident de la circulation à Avarabohitra Itaosy. Sa famille hésite à y croire. Réunis pour s'appuyer dans une épreuve douloureuse, des proches d'un motocycliste supposé victime d'un accident de la route à Avarabohitra Itaosy se montrent très hésitants pour céder aux versions de la gendarmerie. L'homme a été plongé dans le coma pendant cinq jours à l'hôpital et est décédé samedi. D'après l'un de ses proches, la gendarmerie aurait découvert sa moto sur la route, près de Ratsimamanga. Son argent aurait disparu. Ce qui étonne de plus sa famille, sa gorge présentait une grande estafilade s'apparentant à une trace de coup d'objet tranchant, probablement un couteau. Ces indices poussent sa famille à soupçonner autre chose. Elle sous-entend un vol et meurtre. "C'était un accident. Mais comme on dit : on ne meurt pas, on est tué. C'est là le problème pour certains. Les personnes sources de ces supputations n'ont pas vu ce qui s'est passé", assène un gendarme.
Évacué à l'hôpital, un motocycliste est décédé samedi. La gendarmerie a dit qu'il a eu un accident de la circulation à Avarabohitra Itaosy. Sa famille hésite à y croire. Réunis pour s'appuyer dans une épreuve douloureuse, des proches d'un motocycliste supposé victime d'un accident de la route à Avarabohitra Itaosy se montrent très hésitants pour céder aux versions de la gendarmerie. L'homme a été plongé dans le coma pendant cinq jours à l'hôpital et est décédé samedi. D'après l'un de ses proches, la gendarmerie aurait découvert sa moto sur la route, près de Ratsimamanga. Son argent aurait disparu. Ce qui étonne de plus sa famille, sa gorge présentait une grande estafilade s'apparentant à une trace de coup d'objet tranchant, probablement un couteau. Ces indices poussent sa famille à soupçonner autre chose. Elle sous-entend un vol et meurtre. "C'était un accident. Mais comme on dit : on ne meurt pas, on est tué. C'est là le problème pour certains. Les personnes sources de ces supputations n'ont pas vu ce qui s'est passé", assène un gendarme.