La situation épidémiologique dans la région Boeny suite à l’évolution hebdomadaire des cas confirmés de coronavirus pour la région Boeny à la 47ème semaine épidémiologique est de 343 cas positifs, sur les 1084 tests PCR effectués depuis le 17 mai dernier. Deux nouveaux malades suivent un traitement au CHU de Mahavoky atsimo depuis hier, si dimanche, un seul patient était hospitalisé. C’est dire que la situation n’est pas stable. Jeudi dernier, le cumul des cas positifs au coronavirus était de 340 cas confirmés contre 341 cas le 20 novembre dernier et 343 hier dans la région Boeny dont 305 cas positifs recensés pour le district de Mahajanga 1 depuis le 17 mai dernier. Le taux de positivité est de 31.64%, et 329 malades guéris. A Mahajanga, les dispositifs de lavage des mains ont disparu des lieux publics et sont rarement utilisés. Notamment dans les établissements scolaires. Les masques sont jetés depuis longtemps par la majorité de la population. Dans la région Boeny, les mesures sanitaires sont totalement bannies. Les autorités baissent les bras.
La situation épidémiologique dans la région Boeny suite à l’évolution hebdomadaire des cas confirmés de coronavirus pour la région Boeny à la 47ème semaine épidémiologique est de 343 cas positifs, sur les 1084 tests PCR effectués depuis le 17 mai dernier. Deux nouveaux malades suivent un traitement au CHU de Mahavoky atsimo depuis hier, si dimanche, un seul patient était hospitalisé. C’est dire que la situation n’est pas stable. Jeudi dernier, le cumul des cas positifs au coronavirus était de 340 cas confirmés contre 341 cas le 20 novembre dernier et 343 hier dans la région Boeny dont 305 cas positifs recensés pour le district de Mahajanga 1 depuis le 17 mai dernier. Le taux de positivité est de 31.64%, et 329 malades guéris. A Mahajanga, les dispositifs de lavage des mains ont disparu des lieux publics et sont rarement utilisés. Notamment dans les établissements scolaires. Les masques sont jetés depuis longtemps par la majorité de la population. Dans la région Boeny, les mesures sanitaires sont totalement bannies. Les autorités baissent les bras.