Lundi, à Arivonimamo II, les forces de la police ont interpellé un jeune de 18 ans pour détournement de mineure et agression sexuelle. Soumis à un interrogatoire, cet inculpé a reconnu ses actes. Il a été retenu en garde-à-vue avant d’être déféré au Parquet. Il a appâté une petite fille de 11 ans et l’a amenée dans un endroit discret loin du village où il allait réaliser ses désirs obscènes. D’après les informations signalées par la police, saisie de l’enquête, il a entamé des conversations à sa proie avant de toucher son sexe avec ses doigts. La fillette n’aurait pu opposer aucune résistance. À son retour à la maison, elle a raconté à sa mère et son père tout ce qui lui est arrivé. Dans une grande colère, ses parents ont immédiatement déposé plainte contre l’agresseur au commissariat de la sécurité publique d’Arivonimamo. Après collecte de renseignements territoriaux qui a été menée tambour battant, les policiers se sont rendus à Antaboka où a été commis cet attentat à la pudeur. Ils sont tombés sur leur cible et l’ont conduite jusqu’à leur bureau pour la verbaliser. L’auteur de ce détournement et violence sexuelle d’enfant est rapidement passé aux aveux. Sa victime a été soumise à un examen médical.
Lundi, à Arivonimamo II, les forces de la police ont interpellé un jeune de 18 ans pour détournement de mineure et agression sexuelle. Soumis à un interrogatoire, cet inculpé a reconnu ses actes. Il a été retenu en garde-à-vue avant d’être déféré au Parquet. Il a appâté une petite fille de 11 ans et l’a amenée dans un endroit discret loin du village où il allait réaliser ses désirs obscènes. D’après les informations signalées par la police, saisie de l’enquête, il a entamé des conversations à sa proie avant de toucher son sexe avec ses doigts. La fillette n’aurait pu opposer aucune résistance. À son retour à la maison, elle a raconté à sa mère et son père tout ce qui lui est arrivé. Dans une grande colère, ses parents ont immédiatement déposé plainte contre l’agresseur au commissariat de la sécurité publique d’Arivonimamo. Après collecte de renseignements territoriaux qui a été menée tambour battant, les policiers se sont rendus à Antaboka où a été commis cet attentat à la pudeur. Ils sont tombés sur leur cible et l’ont conduite jusqu’à leur bureau pour la verbaliser. L’auteur de ce détournement et violence sexuelle d’enfant est rapidement passé aux aveux. Sa victime a été soumise à un examen médical.