L’énigme reste entière quant au sort de neuf pêcheurs disparus depuis plusieurs jours, au large de Nosy Be. Jusqu’ici, aucune nouvelle ni indice les concernant ne sont intervenus. Les recherches engagées avec un bateau ayant sillonné la mer n’ont rien donné. L’Agence portuaire maritime et fluviale de Madagascar (APMF) a été mise à contribution pour accélérer les recherches, mais sans succès. Les victimes demeurent, à ce jour, introuvables. Les chances de les retrouver en vie sont très minces dans la mesure où l’invasion de pirates somaliens est à craindre, selon le propriétaire de Baleine 5, la vedette qui a disparu depuis samedi 30 mai, avec à son bord quatre pères de famille. Trois embarcations ont quitté le port la veille. Après cinq jours en mer, deux sont revenues, tandis que Baleine 5 n’a laissé aucune trace. Puis dix jours plus tard, trois autres pirogues sont parties et seules deux d’entre elles sont rentrées. La dernière avec ses cinq occupants s’est égarée. Les familles de ces neuf pêcheurs ont maintenant cessé toute opération de secours, faute d’argent et surtout de moyen aérien qui aurait facilement pu les repérer. Ils sollicitent de l’Etat l’envoi d’un hélicoptère sur place pour continuer les recherches.
L’énigme reste entière quant au sort de neuf pêcheurs disparus depuis plusieurs jours, au large de Nosy Be. Jusqu’ici, aucune nouvelle ni indice les concernant ne sont intervenus. Les recherches engagées avec un bateau ayant sillonné la mer n’ont rien donné. L’Agence portuaire maritime et fluviale de Madagascar (APMF) a été mise à contribution pour accélérer les recherches, mais sans succès. Les victimes demeurent, à ce jour, introuvables. Les chances de les retrouver en vie sont très minces dans la mesure où l’invasion de pirates somaliens est à craindre, selon le propriétaire de Baleine 5, la vedette qui a disparu depuis samedi 30 mai, avec à son bord quatre pères de famille. Trois embarcations ont quitté le port la veille. Après cinq jours en mer, deux sont revenues, tandis que Baleine 5 n’a laissé aucune trace. Puis dix jours plus tard, trois autres pirogues sont parties et seules deux d’entre elles sont rentrées. La dernière avec ses cinq occupants s’est égarée. Les familles de ces neuf pêcheurs ont maintenant cessé toute opération de secours, faute d’argent et surtout de moyen aérien qui aurait facilement pu les repérer. Ils sollicitent de l’Etat l’envoi d’un hélicoptère sur place pour continuer les recherches.