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Le vol sans trace d'effraction survenu samedi chez Christine Razanamahasoa n'est pas du cinéma. Elle connaît l(es) auteur(s) de l'acte qu'elle garde pour le moment secret. Une devinette pour la presse à la cafétéria de l'Assemblée nationale, à Tsimbazaza, hier. Elle concerne l'intrusion suivie de vol signalée dans la nuit de samedi, chez Christine Razanamahasoa, présidente de cette institution. Elle affirme connaître le(s) voleur(s) dont elle souhaite ne pas divulguer le(s) nom(s). « Ce n'est pas du cinéma. Cela a eu lieu », répond-elle à la toute première question. Elle croit que l'acte a été perpétré pour la terroriser ou l'intimider. « Mais en tant que chef d'institution, citoyenne responsable qui a des devoirs et des responsabilités envers le pays... je ne céderai pas devant les intimidations. Je reste impassible et je suis engagée dans la lutte pour cette institution », martèle-t-elle. « Je me tiens toujours debout face aux devoirs et obligations que j'assume et pour lesquels les députés comptent sur moi, chef d'institution. Je m'en chargerai jusqu'au bout. Que ce soit un acte malveillant, une menace, ou une intimidation, je continue à tenir bon », insiste la présidente de l’Assemblée nationale.