« Une ruralité en mouvement ». C’est le thème abordé pour détailler les migrations méconnues à Madagascar et en Afrique Subsaharienne à l’Institut français de Madagascar (IFM) dans la journée d’hier. Les migrations régionales, internationales, du rural vers l’urbain et surtout du rural vers le rural ont été décortiquées par des chercheurs de l’université d’Antananarivo, de la FAO, du Centre national de Recherche sur l’environnement (CNRE), du Centre de recherche agronomique et de coopération internationale pour le développement (CIRAD). L’accès à la terre, l’emploi, les exploitations minières sont les principaux motifs de migration dans le pays. « Il y a la migration de travail mais aussi d’identité culturelle telle que le comportement migratoire des Betsileo qui est une tradition », explique Roland Rakotovao, responsable de la mention Histoire à l’université d’Antananarivo. « Les recherches nous amènent à déduire qu’il est important de rééquilibrer les territoires pour améliorer les conditions de vie de ces peuples migrants », souligne Perrine Burnod du Cirad.
« Une ruralité en mouvement ». C’est le thème abordé pour détailler les migrations méconnues à Madagascar et en Afrique Subsaharienne à l’Institut français de Madagascar (IFM) dans la journée d’hier. Les migrations régionales, internationales, du rural vers l’urbain et surtout du rural vers le rural ont été décortiquées par des chercheurs de l’université d’Antananarivo, de la FAO, du Centre national de Recherche sur l’environnement (CNRE), du Centre de recherche agronomique et de coopération internationale pour le développement (CIRAD). L’accès à la terre, l’emploi, les exploitations minières sont les principaux motifs de migration dans le pays. « Il y a la migration de travail mais aussi d’identité culturelle telle que le comportement migratoire des Betsileo qui est une tradition », explique Roland Rakotovao, responsable de la mention Histoire à l’université d’Antananarivo. « Les recherches nous amènent à déduire qu’il est important de rééquilibrer les territoires pour améliorer les conditions de vie de ces peuples migrants », souligne Perrine Burnod du Cirad.