Le CNLS s’expose une nouvelle fois à une affaire de suspicion de détournement de fonds. Un audit devrait être mené par l’IGE auprès de cette instance afin d’élucider cette affaire. Une investigation a été ordonnée par le président de la République, face à une suspicion de détournement de fonds au sein du Comité national de lutte contre le sida (CNLS). C’est ce qui a été annoncé dans la décision prise en conseil des ministres du 21 décembre. Le Conseil des ministres a donné son accord pour envoyer l’Inspection générale de l’État faire un audit auprès de cette instance de coordination nationale de la lutte contre le VIH-Sida. La décision ajoute qu’une zone d’ombre subsiste par rapport à une dépense qui aurait été effectuée. Le montant de la somme n’a pas été précisé, mais il aurait été utilisé dans des dépenses non inscrites. Elle est qualifiée de dépenses inéligibles. Son remboursement est requis par le Fonds mondial de lutte contre le Sida, mais également contre d’autres maladies comme le paludisme et la tuberculose. Les instructions du président de la République sur cette affaire sont fermes. « Les auteurs de ces dépenses considérées comme inéligibles devraient rembourser la totalité de la somme utilisée », rapporte le conseil de ministres. Financement Le CNLS fait face à une nouvelle affaire, alors qu’il a été déjà au cœur d’un détournement d’une trentaine de véhicules 4×4 d’une valeur estimée à 4 311 000 000 d’ariary. Ce scandale a éclaté au mois de janvier de cette année. Deux personnes ont été écrouées. Le Fonds mondial met en commun les ressources récoltées auprès des gouvernements donateurs, du secteur privé ou encore des fondations pour être investies dans la mise en œuvre de programmes de lutte contre le VIH, la tuberculose et le paludisme ainsi que dans le renforcement des systèmes de santé. Il a pour vocation de financer des initiatives mondiales, en partenariat avec diverses entités internationales et nationales, dont les autorités publiques, la société civile, et bien d’autres. Dans son site, le Fonds mondial assure 30% du financement international des programmes de lutte contre le Sida en investissant près de 24,2 milliards de dollars US. Le Fonds mondial recueille des financements selon des cycles de trois ans appelés « reconstitution des ressources ». Il est actuellement à sa huitième reconstitution.
Le CNLS s’expose une nouvelle fois à une affaire de suspicion de détournement de fonds. Un audit devrait être mené par l’IGE auprès de cette instance afin d’élucider cette affaire. Une investigation a été ordonnée par le président de la République, face à une suspicion de détournement de fonds au sein du Comité national de lutte contre le sida (CNLS). C’est ce qui a été annoncé dans la décision prise en conseil des ministres du 21 décembre. Le Conseil des ministres a donné son accord pour envoyer l’Inspection générale de l’État faire un audit auprès de cette instance de coordination nationale de la lutte contre le VIH-Sida. La décision ajoute qu’une zone d’ombre subsiste par rapport à une dépense qui aurait été effectuée. Le montant de la somme n’a pas été précisé, mais il aurait été utilisé dans des dépenses non inscrites. Elle est qualifiée de dépenses inéligibles. Son remboursement est requis par le Fonds mondial de lutte contre le Sida, mais également contre d’autres maladies comme le paludisme et la tuberculose. Les instructions du président de la République sur cette affaire sont fermes. « Les auteurs de ces dépenses considérées comme inéligibles devraient rembourser la totalité de la somme utilisée », rapporte le conseil de ministres. Financement Le CNLS fait face à une nouvelle affaire, alors qu’il a été déjà au cœur d’un détournement d’une trentaine de véhicules 4×4 d’une valeur estimée à 4 311 000 000 d’ariary. Ce scandale a éclaté au mois de janvier de cette année. Deux personnes ont été écrouées. Le Fonds mondial met en commun les ressources récoltées auprès des gouvernements donateurs, du secteur privé ou encore des fondations pour être investies dans la mise en œuvre de programmes de lutte contre le VIH, la tuberculose et le paludisme ainsi que dans le renforcement des systèmes de santé. Il a pour vocation de financer des initiatives mondiales, en partenariat avec diverses entités internationales et nationales, dont les autorités publiques, la société civile, et bien d’autres. Dans son site, le Fonds mondial assure 30% du financement international des programmes de lutte contre le Sida en investissant près de 24,2 milliards de dollars US. Le Fonds mondial recueille des financements selon des cycles de trois ans appelés « reconstitution des ressources ». Il est actuellement à sa huitième reconstitution.