Par rapport aux systèmes de paiement traditionnel, la monnaie virtuelle s’impose peu à peu comme une alternative intéressante compte tenu de contraintes imposées par la situation de pandémie qui prévaut. Innovation. Face aux monnaies traditionnelles, les crypto-monnaies présentent un certain nombre d’avantages, notamment sur leur simplicité et leur faible coût d’utilisation. En effet, ce type de monnaie permet des transferts entre deux parties extrêmement rapides, de l’ordre de la seconde à la minute, des transferts qui ne sont ni limités géographiquement, ni administrativement par des plafonds, ni supervisés par les banques centrales, mais aussi et surtout des frais de transfert faibles en raison de la quasi-absence d’intermédiaires financiers. Cette absence d’intermédiaire simplifie et amoindrit les coûts sur les mouvements financiers dans le domaine de la cryptomonnaie. Cependant, cela représente aussi des risques conséquents pour les utilisateurs de ce système. Raison pour laquelle, la banque centrale, dans son rôle de régulateur, s’intéresse au processus de cadrage du domaine de la finance et technologie « FinTech » pour protéger les investisseurs sans brider l’innovation sur les monnaies numériques. Dans cette tentative de contrôle, la banque centrale de Madagascar a ainsi consulté les promoteurs de la FinTech locale les plus visibles à Madagascar et qui ne sont pas sous la supervision de la Banque. L’objectif étant de présenter aux promoteurs la mission de BFM dans cet environnement en pleine effervescence et de survoler les activités au sein du secteur. Une démarche de consultation qui permettra à la BFM de mieux comprendre la portée et les enjeux de ces initiatives innovantes afin de pouvoir accompagner leur développement dans un cadre plus sécurisé, plus transparent et conforme aux politiques monétaires et aux objectifs de stabilité financière.
Par rapport aux systèmes de paiement traditionnel, la monnaie virtuelle s’impose peu à peu comme une alternative intéressante compte tenu de contraintes imposées par la situation de pandémie qui prévaut. Innovation. Face aux monnaies traditionnelles, les crypto-monnaies présentent un certain nombre d’avantages, notamment sur leur simplicité et leur faible coût d’utilisation. En effet, ce type de monnaie permet des transferts entre deux parties extrêmement rapides, de l’ordre de la seconde à la minute, des transferts qui ne sont ni limités géographiquement, ni administrativement par des plafonds, ni supervisés par les banques centrales, mais aussi et surtout des frais de transfert faibles en raison de la quasi-absence d’intermédiaires financiers. Cette absence d’intermédiaire simplifie et amoindrit les coûts sur les mouvements financiers dans le domaine de la cryptomonnaie. Cependant, cela représente aussi des risques conséquents pour les utilisateurs de ce système. Raison pour laquelle, la banque centrale, dans son rôle de régulateur, s’intéresse au processus de cadrage du domaine de la finance et technologie « FinTech » pour protéger les investisseurs sans brider l’innovation sur les monnaies numériques. Dans cette tentative de contrôle, la banque centrale de Madagascar a ainsi consulté les promoteurs de la FinTech locale les plus visibles à Madagascar et qui ne sont pas sous la supervision de la Banque. L’objectif étant de présenter aux promoteurs la mission de BFM dans cet environnement en pleine effervescence et de survoler les activités au sein du secteur. Une démarche de consultation qui permettra à la BFM de mieux comprendre la portée et les enjeux de ces initiatives innovantes afin de pouvoir accompagner leur développement dans un cadre plus sécurisé, plus transparent et conforme aux politiques monétaires et aux objectifs de stabilité financière.