Le Fonds national pour le développement industriel a été présenté aux marchés des capitaux internationaux à Paris. Une nouvelle étape importante. Un nouveau pas de franchi. Le Fonds national pour le développement industriel continue son petit bonhomme de chemin. Créé par la Loi sur le développement industriel de 2018, le FNDI a été activé par le Pacte public-privé de programmation industrielle signé fin juillet comme étant l’instrument ad hoc de financement des investissements industriels. Depuis les choses se sont accélérées. Une équipe projet, soutenue par la Banque Africaine de Développement dans le cadre du Projet d’Appui à l’Industrialisation et au secteur financier dirigée par Christian Rasoamanana, conseiller technique du Micc, est à l’œuvre en vue de son opérationnalisation. Après une phase de concertation publique-privée, de concertation et étude de faisabilité, le FNDI a fait l’objet, tout au long de cette semaine, d’une présentation aux marchés et de consultations des principaux acteurs nationaux et internationaux dont le point d’orgue fut la conférence tenue ce jeudi à Paris. Un autre moment crucial de l’avenir du Fonds dont le prestigieux Hôtel de l’Industrie, à Saint-Germain des Prés tout indiqué pour l’événement a été le cadre. C’est juste le siège de la Société d’Encouragement pour l’Industrie Nationale, vénérable institution à l’origine de la révolution industrielle en France et haut lieu d’élaboration des stratégies de développement industriel. Cette rencontre présentielle et virtuelle avec les professionnels de l’investissement à travers le monde a permis à l’équipe projet de détailler le contexte, les objectifs, les modalités opérationnelles et le calendrier de déploiement du FNDI.La programmation pluriannuelle de l’industrie ambitionne de porter le poids du secteur secondaire de 15% du PIB national aujourd’hui à 30% en 2040. Les atouts du pays et ses avantages comparatifs dans les cinq secteurs jugés prioritaires ( agro-industrie, textile / habillement, huiles essentielles, transformation minière et industries de l’énergie) ainsi que les infrastructures associées ( zones industrielles, zones économiques spéciales) permettent d’y parvenir. À condition que le système financier soit réactif, réceptif et adapté. Le FNDI est l’outil financier dédié à cet effet.
Le Fonds national pour le développement industriel a été présenté aux marchés des capitaux internationaux à Paris. Une nouvelle étape importante. Un nouveau pas de franchi. Le Fonds national pour le développement industriel continue son petit bonhomme de chemin. Créé par la Loi sur le développement industriel de 2018, le FNDI a été activé par le Pacte public-privé de programmation industrielle signé fin juillet comme étant l’instrument ad hoc de financement des investissements industriels. Depuis les choses se sont accélérées. Une équipe projet, soutenue par la Banque Africaine de Développement dans le cadre du Projet d’Appui à l’Industrialisation et au secteur financier dirigée par Christian Rasoamanana, conseiller technique du Micc, est à l’œuvre en vue de son opérationnalisation. Après une phase de concertation publique-privée, de concertation et étude de faisabilité, le FNDI a fait l’objet, tout au long de cette semaine, d’une présentation aux marchés et de consultations des principaux acteurs nationaux et internationaux dont le point d’orgue fut la conférence tenue ce jeudi à Paris. Un autre moment crucial de l’avenir du Fonds dont le prestigieux Hôtel de l’Industrie, à Saint-Germain des Prés tout indiqué pour l’événement a été le cadre. C’est juste le siège de la Société d’Encouragement pour l’Industrie Nationale, vénérable institution à l’origine de la révolution industrielle en France et haut lieu d’élaboration des stratégies de développement industriel. Cette rencontre présentielle et virtuelle avec les professionnels de l’investissement à travers le monde a permis à l’équipe projet de détailler le contexte, les objectifs, les modalités opérationnelles et le calendrier de déploiement du FNDI.La programmation pluriannuelle de l’industrie ambitionne de porter le poids du secteur secondaire de 15% du PIB national aujourd’hui à 30% en 2040. Les atouts du pays et ses avantages comparatifs dans les cinq secteurs jugés prioritaires ( agro-industrie, textile / habillement, huiles essentielles, transformation minière et industries de l’énergie) ainsi que les infrastructures associées ( zones industrielles, zones économiques spéciales) permettent d’y parvenir. À condition que le système financier soit réactif, réceptif et adapté. Le FNDI est l’outil financier dédié à cet effet.