La création d’une nouvelle entité politique baptisée UPAR a été officialisée, hier, au CCI Ivato. Une nouvelle plateforme, dont la vocation première est de porter le candidat Andry Rajoelina vers un second mandat. Poursuivre le travail entamé. C’est le leitmotiv martelé par les orateurs durant la cérémonie d’officialisation de la création de la plateforme Union des pro-Andry Rajoelina (UPAR), hier, au Centre de conférence internationale (CCI), à Ivato. Sans ambages et comme son nom l’indique, le soutien au candidat Andry Rajoelina est la raison d’être de la nouvelle entité politique. Dans cette optique, l’UPAR ratisse large. L’événement d’hier était justement organisé pour présenter ses membres, à l’instar des députés indépendants conduits par le député Andriasy Philobert Milavonjy, élu d’Ambovombe, qui se sont présentés sur scène à la fin du discours de ce dernier. Selon ses dires, ils sont une cinquantaine au sein de cette nouvelle plateforme politique. Des figures de la scène politique, d’anciens ministres et des personnalités en retrait depuis quelques années reviennent au front au sein de l’UPAR. Dans la liste des orateurs, il y a eu Lalatiana Ravololomanana, conseillère municipale d’Antananarivo. Soulignant sa réputation d’éternelle opposante, elle a prêché sa conviction selon laquelle, “il ne doit pas y avoir de rétropédalage dans la dynamique de développement”. Une note reprise par le député Merci Rio Ramenason, élu à Antsiranana, qui lui a succédé sur scène. Pety Rakotoniaina, ancien maire de Fianarantsoa, connu pour sa verve, est aussi de la partie. Dans une longue tirade, il a mis l’accent sur deux points qu’il considère parmi “les acquis majeurs”, de l’administration Rajoelina. Il s’agit de la lutte contre le vol de bovidé et la politique d’attribution des certificats et titres fonciers. “Peut-être que ceux qui vivent dans les grandes villes n’en sont pas conscients, mais pour nous, dans les zones rurales, ils ont des impacts majeurs sur la paix sociale et microéconomique. Nous allons défendre ces acquis”, soutient-il. L’ancien maire de Fianarantsoa reconnaît qu’il reste beaucoup à faire, qu’il y a encore des problèmes à résoudre. “Ce n’est pas parce qu’il reste des problèmes que nous devons faire fi de ce qui a été fait ou en cours”, assène-t-il pourtant. Les anciens ministres Riana Andriamandavy VII et Jean De Dieu Maharante, en retrait depuis qu’ils ont quitté l’Exécutif, en 2019, ont fait leur comeback dans l’arène politique sur la scène du CCI, hier.
La création d’une nouvelle entité politique baptisée UPAR a été officialisée, hier, au CCI Ivato. Une nouvelle plateforme, dont la vocation première est de porter le candidat Andry Rajoelina vers un second mandat. Poursuivre le travail entamé. C’est le leitmotiv martelé par les orateurs durant la cérémonie d’officialisation de la création de la plateforme Union des pro-Andry Rajoelina (UPAR), hier, au Centre de conférence internationale (CCI), à Ivato. Sans ambages et comme son nom l’indique, le soutien au candidat Andry Rajoelina est la raison d’être de la nouvelle entité politique. Dans cette optique, l’UPAR ratisse large. L’événement d’hier était justement organisé pour présenter ses membres, à l’instar des députés indépendants conduits par le député Andriasy Philobert Milavonjy, élu d’Ambovombe, qui se sont présentés sur scène à la fin du discours de ce dernier. Selon ses dires, ils sont une cinquantaine au sein de cette nouvelle plateforme politique. Des figures de la scène politique, d’anciens ministres et des personnalités en retrait depuis quelques années reviennent au front au sein de l’UPAR. Dans la liste des orateurs, il y a eu Lalatiana Ravololomanana, conseillère municipale d’Antananarivo. Soulignant sa réputation d’éternelle opposante, elle a prêché sa conviction selon laquelle, “il ne doit pas y avoir de rétropédalage dans la dynamique de développement”. Une note reprise par le député Merci Rio Ramenason, élu à Antsiranana, qui lui a succédé sur scène. Pety Rakotoniaina, ancien maire de Fianarantsoa, connu pour sa verve, est aussi de la partie. Dans une longue tirade, il a mis l’accent sur deux points qu’il considère parmi “les acquis majeurs”, de l’administration Rajoelina. Il s’agit de la lutte contre le vol de bovidé et la politique d’attribution des certificats et titres fonciers. “Peut-être que ceux qui vivent dans les grandes villes n’en sont pas conscients, mais pour nous, dans les zones rurales, ils ont des impacts majeurs sur la paix sociale et microéconomique. Nous allons défendre ces acquis”, soutient-il. L’ancien maire de Fianarantsoa reconnaît qu’il reste beaucoup à faire, qu’il y a encore des problèmes à résoudre. “Ce n’est pas parce qu’il reste des problèmes que nous devons faire fi de ce qui a été fait ou en cours”, assène-t-il pourtant. Les anciens ministres Riana Andriamandavy VII et Jean De Dieu Maharante, en retrait depuis qu’ils ont quitté l’Exécutif, en 2019, ont fait leur comeback dans l’arène politique sur la scène du CCI, hier.