Laminés par les gendarmes, des bandits de grand chemin se sont repliés avec les corps de leurs comparses tombés sur le champ de bataille. Repoussés au Kalachnikov, ils ont abandonné leur butin. Les balles ont sifflé aux oreilles à Ankazomborona Marovoay. Se heurtant à la puissance de feu des forces de gendarmerie, une horde de bandits de grand chemin a encaissé de lourdes pertes. Le bilan fait état de trois morts. Cette fusillade meurtrière s’est produite dans la gorge du fleuve dite Ambavan’i Marovoay. Pris dans des tirs nourris au Kalachnikov, les bandits n’avaient pas la force de réponse nécessaire pour faire face aux gendarmes appuyés par le fokonolona. Dans ce déluge de feu les dahalo ont battu en retraite, abandonnant aux gendarmes leur butin. Dans leur fuite éperdue, les bandits ont tant bien que mal pris les dépouilles de leurs comparses tombés sur le champ de bataille, de peur qu’elles ne tombent entre les mains des gendarmes et de villageois qui pourraient en effectuer par la suite l’identification pour remonter de fil en aiguille jusqu’à leurs comparses en fuite. Cet accrochage s’est produit dans l’après-midi aux alentours de 16 heures, après presque une journée de poursuites intensives.
Laminés par les gendarmes, des bandits de grand chemin se sont repliés avec les corps de leurs comparses tombés sur le champ de bataille. Repoussés au Kalachnikov, ils ont abandonné leur butin. Les balles ont sifflé aux oreilles à Ankazomborona Marovoay. Se heurtant à la puissance de feu des forces de gendarmerie, une horde de bandits de grand chemin a encaissé de lourdes pertes. Le bilan fait état de trois morts. Cette fusillade meurtrière s’est produite dans la gorge du fleuve dite Ambavan’i Marovoay. Pris dans des tirs nourris au Kalachnikov, les bandits n’avaient pas la force de réponse nécessaire pour faire face aux gendarmes appuyés par le fokonolona. Dans ce déluge de feu les dahalo ont battu en retraite, abandonnant aux gendarmes leur butin. Dans leur fuite éperdue, les bandits ont tant bien que mal pris les dépouilles de leurs comparses tombés sur le champ de bataille, de peur qu’elles ne tombent entre les mains des gendarmes et de villageois qui pourraient en effectuer par la suite l’identification pour remonter de fil en aiguille jusqu’à leurs comparses en fuite. Cet accrochage s’est produit dans l’après-midi aux alentours de 16 heures, après presque une journée de poursuites intensives.