Un rapport définitif sort de l’enquête à l’échelle nationale menée dans plusieurs localités de l’île afin d’identifier le potentiel entrepreneurial chez la population. Bouclé en quatre-vingt-six pages. Il s’agit du rapport établi sur le comportement entrepreneurial des individus à Madagascar. L’enquête effectuée auprès de mille quatre cents individus répartis dans dix régions a été réalisée simultanément avec celles des autres pays du monde, permettant de repérer la situation de l’entrepreneuriat à Madagascar par rapport aux réalités dans cinquante autres économies, c’est-à-dire pays. Rédigé sous l’impulsion du Global Entrepreneurship Monitor ou GEM, le rapport concernant l’entrepreneuriat à Madagascar a nécessité une année entière de plusieurs enquêtes réalisées par les experts statisticiens de l’Institut national de la statistique (Instat) et les enseignants-chercheurs de l’Institut national des sciences comptables et de l’administration d’entreprises (Inscae). Permettant une visibilité sur les aspects régionaux de l’entrepreneuriat, le rapport, actuellement disponible, fera l’objet d’une présentation publique, jeudi après-midi. À l’occasion d’une séance tenante sous le haut patronage du ministre chargé de l’Économie et des finances à l’amphithéâtre de l’Inscae dans la capitale, les dirigeants étatiques et économiques ainsi que les citoyens prendront connaissance du contenu intégral du rapport. Connu dans le langage international comme « rapport GEM », le document finalisé sur les réalités entrepreneuriales dans la Grande île s’inscrit dans la plus grande étude de portée mondiale sur l’entrepreneuriat. À Madagascar l’équipe en charge du rapport au niveau national est dirigée par la Professeure Claudine Ratsimbazafy, enseignante à l’Inscae. Révélateur D’après la directrice générale de l’Inscae, Harimino Rakoto, « Les travaux effectués dans l’élaboration du rapport ont permis la découverte du choix de la majorité des personnes en faveur de l’entrepreneuriat. Beaucoup d’individus ont des activités qui traduisent l’action même d’entreprendre. Les enjeux et les défis de l’entrepreneuriat sont ainsi dévoilés dans le rapport dont la compilation d’informations a vu la participation de trente neuf experts ». Entrepris à Madagascar pour la première fois il y a trois ans grâce à une initiative canadienne par le truchement de l’Université du Québec-à-Trois-Rivières ( UQTR )partenaire de l’Inscae, le rapport sur l’entrepreneuriat sert de référence dans la période actuelle marquée par plusieurs modes de soutien s’offrant au milieu entrepreneurial. Intervenant par visioconférence lors de la présentation du rapport ce jeudi, les experts canadiens et internationaux participeront aux échanges autour de l’entrepreneuriat dans les régions de Madagascar. À côté du salariat qui est ancré dans la société comme moyen de recherche de la réussite professionnelle, l’entrepreneuriat commence à être choisi comme une voie royale d’épanouissement par une part importante de la population active.
Un rapport définitif sort de l’enquête à l’échelle nationale menée dans plusieurs localités de l’île afin d’identifier le potentiel entrepreneurial chez la population. Bouclé en quatre-vingt-six pages. Il s’agit du rapport établi sur le comportement entrepreneurial des individus à Madagascar. L’enquête effectuée auprès de mille quatre cents individus répartis dans dix régions a été réalisée simultanément avec celles des autres pays du monde, permettant de repérer la situation de l’entrepreneuriat à Madagascar par rapport aux réalités dans cinquante autres économies, c’est-à-dire pays. Rédigé sous l’impulsion du Global Entrepreneurship Monitor ou GEM, le rapport concernant l’entrepreneuriat à Madagascar a nécessité une année entière de plusieurs enquêtes réalisées par les experts statisticiens de l’Institut national de la statistique (Instat) et les enseignants-chercheurs de l’Institut national des sciences comptables et de l’administration d’entreprises (Inscae). Permettant une visibilité sur les aspects régionaux de l’entrepreneuriat, le rapport, actuellement disponible, fera l’objet d’une présentation publique, jeudi après-midi. À l’occasion d’une séance tenante sous le haut patronage du ministre chargé de l’Économie et des finances à l’amphithéâtre de l’Inscae dans la capitale, les dirigeants étatiques et économiques ainsi que les citoyens prendront connaissance du contenu intégral du rapport. Connu dans le langage international comme « rapport GEM », le document finalisé sur les réalités entrepreneuriales dans la Grande île s’inscrit dans la plus grande étude de portée mondiale sur l’entrepreneuriat. À Madagascar l’équipe en charge du rapport au niveau national est dirigée par la Professeure Claudine Ratsimbazafy, enseignante à l’Inscae. Révélateur D’après la directrice générale de l’Inscae, Harimino Rakoto, « Les travaux effectués dans l’élaboration du rapport ont permis la découverte du choix de la majorité des personnes en faveur de l’entrepreneuriat. Beaucoup d’individus ont des activités qui traduisent l’action même d’entreprendre. Les enjeux et les défis de l’entrepreneuriat sont ainsi dévoilés dans le rapport dont la compilation d’informations a vu la participation de trente neuf experts ». Entrepris à Madagascar pour la première fois il y a trois ans grâce à une initiative canadienne par le truchement de l’Université du Québec-à-Trois-Rivières ( UQTR )partenaire de l’Inscae, le rapport sur l’entrepreneuriat sert de référence dans la période actuelle marquée par plusieurs modes de soutien s’offrant au milieu entrepreneurial. Intervenant par visioconférence lors de la présentation du rapport ce jeudi, les experts canadiens et internationaux participeront aux échanges autour de l’entrepreneuriat dans les régions de Madagascar. À côté du salariat qui est ancré dans la société comme moyen de recherche de la réussite professionnelle, l’entrepreneuriat commence à être choisi comme une voie royale d’épanouissement par une part importante de la population active.