Edgard Razafindravahy continue sa chronique hebdomadaire. Il continue sur le concept de Sekoly Ambony ho an’any Vahoaka qu’il a abordé la semaine passée. Cette fois, il le développe davantage. Il s’agit de l’éducation citoyenne qui permet à la population de se prendre en charge et de trouver des solutions aux problèmes sociaux quotidiens. Développer tout l’homme et tout homme. Ne compter que sur ses propres forces. Voilà les principes sur lesquels se base le Sekoly Ambony ho an’ny Vahoaka. C’est une école de la vie qui apprend à chaque citoyen ce qu’il n’apprend pas à l’école. Pour affronter la vie, il ne suffit pas de collectionner des diplômes, d’emmagasiner des connaissances et techniques à l’école, il faut également maîtriser les questions pratiques, pour maîtriser certaines choses et affronter les difficultés de l’existence avec tous les atouts en main. Il faut aussi avoir plusieurs cordes à son arc et embrasser d’autres secteurs comme l’artisanat pour élargir les sources de revenu. Le SAV a pour objectif d’inculquer aux jeunes une culture citoyenne pour un changement de mentalité et de comportement. La population a des droits mais elle doit comprendre également qu’elle doit assumer des devoirs. Les dirigeants en général et les élus en particulier ont pour mission de servir la population mais celle-ci est aussi entièrement responsable de son avenir et doit l’assumer. Le soutien du pouvoir et des dirigeants est accessoire mais la population doit d’abord compter sur ses propres forces. L’État-providence ne peut pas tout faire surtout dans la conjoncture actuelle. Il n’a pas les moyens de tout faire dans chaque fokontany, dans chaque village. On nous a habitué à tout recevoir sur un plateau. Il faut changer cette attitude d’éternels assistés. Le développement n’est pas possible sans la contribution de la population. L’histoire a ancré dans notre esprit, qu’une région sans suzerain ( tany lavitra Andriana), est abandonnée par le développement. Ce n’est qu’un simple prétexte, un problème imaginaire. L’Andriana c’est cette terre qui nourrit, c’est ce sol qui regorge de richesses et de ressources minières qui ne demandent qu’à être exploitées pour faire vivre toute la population. On a le choix entre le développement et la pauvreté. Si on décide de subir, d’attendre que l’État fasse tout, il est clair qu’on restera pauvre aussi longtemps que l’on vivra. On en voudra à l’État et on s’expose à l’eternelle récupération des politiciens. En revanche, si on se résout à tout prendre en main, si tout le monde s’implique à fond, on se donne un bel avenir, on instaure la discipline et le respect. Les divers problèmes sociaux , l’insécurité se dénoueront facilement. Que chacun se sen te responsable de son village, de sa ville, de sa région. Tous ces efforts convergeront vers le développement de tout le pays. L’État continuera bien évidemment à assumer les responsabilités qui lui sont dévolues mais chaque citoyen doit également s’acquitter des tâches qui lui incombent. L’ADN condamne l’attentat contre le président Le parti Antoka sy Dinan’ny Nosy ( ADN) condamne fermement la tentative d’attentat contre le président de la République Andry Rajoelina fomentée par deux officiers français à la retraite. L’ADN est contre toute tentative de déstabilisation et espère que les auteurs de ce sinistre projet soient sévèrement punis selon la loi en vigueur. L’ADN renouvelle son soutien indéfectible au président de la République et au programme de développement en vigueur.
Edgard Razafindravahy continue sa chronique hebdomadaire. Il continue sur le concept de Sekoly Ambony ho an’any Vahoaka qu’il a abordé la semaine passée. Cette fois, il le développe davantage. Il s’agit de l’éducation citoyenne qui permet à la population de se prendre en charge et de trouver des solutions aux problèmes sociaux quotidiens. Développer tout l’homme et tout homme. Ne compter que sur ses propres forces. Voilà les principes sur lesquels se base le Sekoly Ambony ho an’ny Vahoaka. C’est une école de la vie qui apprend à chaque citoyen ce qu’il n’apprend pas à l’école. Pour affronter la vie, il ne suffit pas de collectionner des diplômes, d’emmagasiner des connaissances et techniques à l’école, il faut également maîtriser les questions pratiques, pour maîtriser certaines choses et affronter les difficultés de l’existence avec tous les atouts en main. Il faut aussi avoir plusieurs cordes à son arc et embrasser d’autres secteurs comme l’artisanat pour élargir les sources de revenu. Le SAV a pour objectif d’inculquer aux jeunes une culture citoyenne pour un changement de mentalité et de comportement. La population a des droits mais elle doit comprendre également qu’elle doit assumer des devoirs. Les dirigeants en général et les élus en particulier ont pour mission de servir la population mais celle-ci est aussi entièrement responsable de son avenir et doit l’assumer. Le soutien du pouvoir et des dirigeants est accessoire mais la population doit d’abord compter sur ses propres forces. L’État-providence ne peut pas tout faire surtout dans la conjoncture actuelle. Il n’a pas les moyens de tout faire dans chaque fokontany, dans chaque village. On nous a habitué à tout recevoir sur un plateau. Il faut changer cette attitude d’éternels assistés. Le développement n’est pas possible sans la contribution de la population. L’histoire a ancré dans notre esprit, qu’une région sans suzerain ( tany lavitra Andriana), est abandonnée par le développement. Ce n’est qu’un simple prétexte, un problème imaginaire. L’Andriana c’est cette terre qui nourrit, c’est ce sol qui regorge de richesses et de ressources minières qui ne demandent qu’à être exploitées pour faire vivre toute la population. On a le choix entre le développement et la pauvreté. Si on décide de subir, d’attendre que l’État fasse tout, il est clair qu’on restera pauvre aussi longtemps que l’on vivra. On en voudra à l’État et on s’expose à l’eternelle récupération des politiciens. En revanche, si on se résout à tout prendre en main, si tout le monde s’implique à fond, on se donne un bel avenir, on instaure la discipline et le respect. Les divers problèmes sociaux , l’insécurité se dénoueront facilement. Que chacun se sen te responsable de son village, de sa ville, de sa région. Tous ces efforts convergeront vers le développement de tout le pays. L’État continuera bien évidemment à assumer les responsabilités qui lui sont dévolues mais chaque citoyen doit également s’acquitter des tâches qui lui incombent. L’ADN condamne l’attentat contre le président Le parti Antoka sy Dinan’ny Nosy ( ADN) condamne fermement la tentative d’attentat contre le président de la République Andry Rajoelina fomentée par deux officiers français à la retraite. L’ADN est contre toute tentative de déstabilisation et espère que les auteurs de ce sinistre projet soient sévèrement punis selon la loi en vigueur. L’ADN renouvelle son soutien indéfectible au président de la République et au programme de développement en vigueur.