L’Ecole primaire publique à Tsaramiakatra Ambohipeno, dans la commune rurale d’Arivonimamo II, a bénéficié d’un nouveau bâtiment, composé de trois nouvelles salles de classe, équipé de mobilier scolaire et de latrines, mises à part les quatre salles de classe déjà existantes. C’est grâce à l’appui financier de la famille Sattin d’Angleterre, partenaire de l’ONG Madagascar Development Fund (MDF). « Ce nouveau bâtiment devrait augmenter la capacité d’accueil de l’EPP », appuie un communiqué de presse, en marge de l’inauguration de l’infrastructure, le 6 juin. Selon le directeur de cette école primaire publique, quelques trois cent élèves y sont inscrits, actuellement, et la nouvelle inscription de près d’une centaine d’élèves est attendue pour l’année scolaire suivante, grâce à ces nouvelles infrastructures. La communauté locale a été mobilisée pour s’impliquer massivement dans les travaux de construction afin d’assurer l’entretien continu et la pérennité de ce bien public. Notons que cette école a été ravagée par un cyclone, il y a des années et n’a pu être réhabilitée qu’en 1999, grâce à l’effort des villageois. M. R.
L’Ecole primaire publique à Tsaramiakatra Ambohipeno, dans la commune rurale d’Arivonimamo II, a bénéficié d’un nouveau bâtiment, composé de trois nouvelles salles de classe, équipé de mobilier scolaire et de latrines, mises à part les quatre salles de classe déjà existantes. C’est grâce à l’appui financier de la famille Sattin d’Angleterre, partenaire de l’ONG Madagascar Development Fund (MDF). « Ce nouveau bâtiment devrait augmenter la capacité d’accueil de l’EPP », appuie un communiqué de presse, en marge de l’inauguration de l’infrastructure, le 6 juin. Selon le directeur de cette école primaire publique, quelques trois cent élèves y sont inscrits, actuellement, et la nouvelle inscription de près d’une centaine d’élèves est attendue pour l’année scolaire suivante, grâce à ces nouvelles infrastructures. La communauté locale a été mobilisée pour s’impliquer massivement dans les travaux de construction afin d’assurer l’entretien continu et la pérennité de ce bien public. Notons que cette école a été ravagée par un cyclone, il y a des années et n’a pu être réhabilitée qu’en 1999, grâce à l’effort des villageois. M. R.