Mialy Rajoelina mène la barque de la lutte contre la violence basée sur le genre. Participante à la Conférence internationale sur la Violence basée sur le genre (VBG) à Oslo Norvège, la Première dame multiplie les rencontres bilatérales auprès de différents organismes internationaux. Cette ambassadrice de cette lutte de longue haleine, fraichement nommée par le Fonds des Nations Unies pour la Population (Unfpa), veut montrer la réalité à Madagascar, pour obtenir du soutien dans l’atteinte des objectifs, notamment, le zéro VBG d’ici 2030. Elle a rencontré, entre autres, Aksel Jakobsen, le secrétaire d’État auprès du ministère norvégien des Affaires étrangères, qui a noté dans son agenda son voyage à Madagascar, au mois de juin, pour visiter les réalisations des luttes contre le VGB et les perspectives de l’association Fitia. D’un commun accord, ils ont souligné que « l’éducation reste l’arme principale de l’autonomisation de la jeune fille ». Mialy Rajoelina a, également, rencontré Marit Brandtzaeg, directeur général adjoint de l’Agence norvégienne de la coopération pour le développement (Norad) avec qui elle a exposé la campagne de lutte contre le VBG et le changement climatique. La première dame se pose comme défi d’organiser la Conférence internationale sur la lutte contre les VBG et sur les Objectifs de développement durable à Antananarivo, pour l’année prochaine. Avant le début de cette conférence qui a lieu le 23 et le 24 mai, cette ambassadrice a aussi rencontré l’association Norvège-Madagascar qui intervient à Madagascar depuis une vingtaine d’années.
Mialy Rajoelina mène la barque de la lutte contre la violence basée sur le genre. Participante à la Conférence internationale sur la Violence basée sur le genre (VBG) à Oslo Norvège, la Première dame multiplie les rencontres bilatérales auprès de différents organismes internationaux. Cette ambassadrice de cette lutte de longue haleine, fraichement nommée par le Fonds des Nations Unies pour la Population (Unfpa), veut montrer la réalité à Madagascar, pour obtenir du soutien dans l’atteinte des objectifs, notamment, le zéro VBG d’ici 2030. Elle a rencontré, entre autres, Aksel Jakobsen, le secrétaire d’État auprès du ministère norvégien des Affaires étrangères, qui a noté dans son agenda son voyage à Madagascar, au mois de juin, pour visiter les réalisations des luttes contre le VGB et les perspectives de l’association Fitia. D’un commun accord, ils ont souligné que « l’éducation reste l’arme principale de l’autonomisation de la jeune fille ». Mialy Rajoelina a, également, rencontré Marit Brandtzaeg, directeur général adjoint de l’Agence norvégienne de la coopération pour le développement (Norad) avec qui elle a exposé la campagne de lutte contre le VBG et le changement climatique. La première dame se pose comme défi d’organiser la Conférence internationale sur la lutte contre les VBG et sur les Objectifs de développement durable à Antananarivo, pour l’année prochaine. Avant le début de cette conférence qui a lieu le 23 et le 24 mai, cette ambassadrice a aussi rencontré l’association Norvège-Madagascar qui intervient à Madagascar depuis une vingtaine d’années.