Sort incertain pour deux jeunes pêcheurs. Sortis en mer dimanche sur les côtes d’Analalava, deux collégiens âgés respectivement de quinze et dix-huit ans ne sont pas encore revenus jusqu’à ce jour. Les deux malheureux profitaient de la suspension des classes pour aller à la pêche et vendre leurs produits et voilà qu’ils manquent à l’appel depuis cinq jours. D’après les informations recueillies, un mauvais temps s’est abattu sur le littoral dimanche alors qu’ils étaient loin des côtes. Une dizaine de pêcheurs ont été emportés à la dérive. Alors que certains ont été emportés loin au nord de Nosy Lava, d’autres ont échoué sur les plages des îles environnantes dont Morintsa, Ankatakatabe et Ambalahonko. Ceux dont les difficultés surmontées étaient les plus difficiles étaient pour leur part restés au large, s’accrochant à leurs pirogues emportées par les vagues déchaînées et le vent violent. Ils avaient dû attendre le lever du jour pour rejoindre les côtes. Bon nombre de piroguiers qui ont surmonté cette tempête n’étaient pas équipés de gilet de sauvetage. Parmi ceux qui ont pu regagner la terre ferme, certains affirment avoir été surpris en mer par le mauvais temps faute d’avoir été informés du bulletin météo. Les recherches des deux disparus se poursuivent bien que les chances de les retrouver vivants s’amenuisent avec le temps qui passe.
Sort incertain pour deux jeunes pêcheurs. Sortis en mer dimanche sur les côtes d’Analalava, deux collégiens âgés respectivement de quinze et dix-huit ans ne sont pas encore revenus jusqu’à ce jour. Les deux malheureux profitaient de la suspension des classes pour aller à la pêche et vendre leurs produits et voilà qu’ils manquent à l’appel depuis cinq jours. D’après les informations recueillies, un mauvais temps s’est abattu sur le littoral dimanche alors qu’ils étaient loin des côtes. Une dizaine de pêcheurs ont été emportés à la dérive. Alors que certains ont été emportés loin au nord de Nosy Lava, d’autres ont échoué sur les plages des îles environnantes dont Morintsa, Ankatakatabe et Ambalahonko. Ceux dont les difficultés surmontées étaient les plus difficiles étaient pour leur part restés au large, s’accrochant à leurs pirogues emportées par les vagues déchaînées et le vent violent. Ils avaient dû attendre le lever du jour pour rejoindre les côtes. Bon nombre de piroguiers qui ont surmonté cette tempête n’étaient pas équipés de gilet de sauvetage. Parmi ceux qui ont pu regagner la terre ferme, certains affirment avoir été surpris en mer par le mauvais temps faute d’avoir été informés du bulletin météo. Les recherches des deux disparus se poursuivent bien que les chances de les retrouver vivants s’amenuisent avec le temps qui passe.