Prenant les allures d’une grande compétition sportive, les « GeckoGames » ont vivement animé les jeunes élèves francophones de la capitale tout au long de cette semaine. Initié pour la première fois en 2015, entre autres sous l’initiative des services régionaux de l’Union nationale du sport scolaire (UNSS) de Mayotte et de l’île de La Réunion, ainsi que le soutien de l’Agence pour l’enseignement français à l’étranger (AEFE), il s’agit d’un événement sportif scolaire qui, pour sa seconde édition du 14 au 19 avril, a surtout brillé par la richesse artistique et créative des élèves participants, de tous âges et de tous horizons. Un événement d’une envergure internationale donc, il a accueilli, cette année, trois cent soixante-dix-neuf élèves de huit pays différents, à savoir, Maurice, la Réunion, Djibouti, Mayotte, Kenya, le Mozambique, l’Afrique du Sud et évidemment Madagascar. Durant six jours, le Lycée français d’Antananarivo (LFT) à Ambatobe s’est ainsi offert comme le terrain de jeu de talentueux et dynamiques jeunes de l’océan Indien pour ce qui était tournoi festif et convivial. « Nous sommes plus que fiers de l’engouement dont on fait preuve ces jeunes, notamment en ayant été portés par leur envie de créer et d’innover à travers les échanges culturels et artistiques qui se sont proposés à eux tout au long de cette semaine » souligne Philipe Cachat, enseignant et membre émérite du comité d’organisation de ces GeckoGames. Quatre compétitions en tout ont donc égayé ces GeckoGames durant cette semaine, à savoir la natation, le rugby, le raid et enfin la danse. Cette dernière faisant office de grande nouveauté pour cet évènement, car l’un des objectifs de l’évènement pour cette année est d’éveiller la créativité des participants. En outre, il est aussi l’occasion de valoriser l’image et la beauté de la Grande île aux yeux de ces jeunes, mais aussi sur le plan international. Prenant l’aspect de jeux interculturels, l’art dans toute sa splendeur était ainsi au cœur même de ces GeckoGames et cela s’est particulièrement fait ressentir, notamment lors de sa cérémonie de clôture hier. Géraldine Leong-Sang, chorégraphe a supervisée tout au long de ces GeckoGames les élèves durant trois séances d’ateliers de création.
Prenant les allures d’une grande compétition sportive, les « GeckoGames » ont vivement animé les jeunes élèves francophones de la capitale tout au long de cette semaine. Initié pour la première fois en 2015, entre autres sous l’initiative des services régionaux de l’Union nationale du sport scolaire (UNSS) de Mayotte et de l’île de La Réunion, ainsi que le soutien de l’Agence pour l’enseignement français à l’étranger (AEFE), il s’agit d’un événement sportif scolaire qui, pour sa seconde édition du 14 au 19 avril, a surtout brillé par la richesse artistique et créative des élèves participants, de tous âges et de tous horizons. Un événement d’une envergure internationale donc, il a accueilli, cette année, trois cent soixante-dix-neuf élèves de huit pays différents, à savoir, Maurice, la Réunion, Djibouti, Mayotte, Kenya, le Mozambique, l’Afrique du Sud et évidemment Madagascar. Durant six jours, le Lycée français d’Antananarivo (LFT) à Ambatobe s’est ainsi offert comme le terrain de jeu de talentueux et dynamiques jeunes de l’océan Indien pour ce qui était tournoi festif et convivial. « Nous sommes plus que fiers de l’engouement dont on fait preuve ces jeunes, notamment en ayant été portés par leur envie de créer et d’innover à travers les échanges culturels et artistiques qui se sont proposés à eux tout au long de cette semaine » souligne Philipe Cachat, enseignant et membre émérite du comité d’organisation de ces GeckoGames. Quatre compétitions en tout ont donc égayé ces GeckoGames durant cette semaine, à savoir la natation, le rugby, le raid et enfin la danse. Cette dernière faisant office de grande nouveauté pour cet évènement, car l’un des objectifs de l’évènement pour cette année est d’éveiller la créativité des participants. En outre, il est aussi l’occasion de valoriser l’image et la beauté de la Grande île aux yeux de ces jeunes, mais aussi sur le plan international. Prenant l’aspect de jeux interculturels, l’art dans toute sa splendeur était ainsi au cœur même de ces GeckoGames et cela s’est particulièrement fait ressentir, notamment lors de sa cérémonie de clôture hier. Géraldine Leong-Sang, chorégraphe a supervisée tout au long de ces GeckoGames les élèves durant trois séances d’ateliers de création.