Inflexibles. Les autorités le sont sur les mesures sanitaires après la réouverture partielle des frontières. Les opérateurs économiques, toutes professions confondues, ont exigé la suppression sans conditions des deux jours de confinement pour les passagers qui débarquent, présentant un pass vaccinal ou un test PCR négatif à l’arrivée. Mais les responsables viennent de publier la liste de 20 hôtels autorisés à héberger les voyageurs des vols commerciaux. Soit 1 019 chambres disponibles. Des hôtels de luxe de la capitale sont parmi les sélectionnés. Ce qui irrite encore dans ces obligations car les dépenses y afférentes sont à la charge des confinés. Ces restrictions sont jugées prohibitives pour inciter les touristes à visiter la Grande île. S’ils étaient 45 000 à faire le tour du côté de l’Isalo avant la crise sanitaire, ils n’étaient plus que 579 l’an passé. Une illustration chiffrée parmi tant d’autres de la faillite du tourisme malgache.
Inflexibles. Les autorités le sont sur les mesures sanitaires après la réouverture partielle des frontières. Les opérateurs économiques, toutes professions confondues, ont exigé la suppression sans conditions des deux jours de confinement pour les passagers qui débarquent, présentant un pass vaccinal ou un test PCR négatif à l’arrivée. Mais les responsables viennent de publier la liste de 20 hôtels autorisés à héberger les voyageurs des vols commerciaux. Soit 1 019 chambres disponibles. Des hôtels de luxe de la capitale sont parmi les sélectionnés. Ce qui irrite encore dans ces obligations car les dépenses y afférentes sont à la charge des confinés. Ces restrictions sont jugées prohibitives pour inciter les touristes à visiter la Grande île. S’ils étaient 45 000 à faire le tour du côté de l’Isalo avant la crise sanitaire, ils n’étaient plus que 579 l’an passé. Une illustration chiffrée parmi tant d’autres de la faillite du tourisme malgache.