Volte-face. L’équipe du candidat Marc Ravalomanana, lors d’une conférence de presse, hier, a déclaré qu’elle retirait les requêtes qu’elle a déposées auprès de la Haute cour constitutionnelle (HCC). Ces requêtes retirées seraient au nombre de deux-cent huit. Durant cette rencontre avec les journalistes au quartier général du candidat numéro 25, à Bel’air, ses lieutenants ont expliqué que ce «désistement d’action est pour préserver la paix et la souveraineté du pays». L’écurie du candidat Marc Ravalomanana affirme qu’elle «accepte les résultats provisoires publiés par la CENI [Commission électorale nationale indépendante]», et attend les résultats définitifs proclamés par la Haute cour constitutionnelle (HCC). Il a aussi été souligné, durant la conférence de presse d’hier, que la CENI a fait son travail en toute transparence. L’autre raison de ce désistement serait aussi, selon les explications d’hier, pour affirmer l’opposition du camp Ravalomanana aux intentions de certains courants politiques de profiter des contestations des résultats ou des critiques sur les anomalies pour tenter de faire annuler l’élection présidentielle ou repousser le deuxième tour. L’écurie du candidat numéro 25 a, pourtant, été la première à avoir torpillé la CENI. Le travail de sape a commencé dès la soirée du 7 novembre, pour contre-attaquer les réjouissances de victoire avant l’heure du candidat Andry Rajoelina. L’équipe de Marc Ravalomanana a lancé une campagne médiatique sur les réseaux sociaux pour démonter la crédibilité de la CENI et des tendances qu’elle a publiées. Il a même été affirmé par des ténors du camp du candidat numéro 25 que les responsables de la CENI ont été achetés par leur rival. Les autres écuries politiques n’avaient plus qu’à s’engouffrer dans la brèche pour contester la fiabilité des résultats du premier tour.
Volte-face. L’équipe du candidat Marc Ravalomanana, lors d’une conférence de presse, hier, a déclaré qu’elle retirait les requêtes qu’elle a déposées auprès de la Haute cour constitutionnelle (HCC). Ces requêtes retirées seraient au nombre de deux-cent huit. Durant cette rencontre avec les journalistes au quartier général du candidat numéro 25, à Bel’air, ses lieutenants ont expliqué que ce «désistement d’action est pour préserver la paix et la souveraineté du pays». L’écurie du candidat Marc Ravalomanana affirme qu’elle «accepte les résultats provisoires publiés par la CENI [Commission électorale nationale indépendante]», et attend les résultats définitifs proclamés par la Haute cour constitutionnelle (HCC). Il a aussi été souligné, durant la conférence de presse d’hier, que la CENI a fait son travail en toute transparence. L’autre raison de ce désistement serait aussi, selon les explications d’hier, pour affirmer l’opposition du camp Ravalomanana aux intentions de certains courants politiques de profiter des contestations des résultats ou des critiques sur les anomalies pour tenter de faire annuler l’élection présidentielle ou repousser le deuxième tour. L’écurie du candidat numéro 25 a, pourtant, été la première à avoir torpillé la CENI. Le travail de sape a commencé dès la soirée du 7 novembre, pour contre-attaquer les réjouissances de victoire avant l’heure du candidat Andry Rajoelina. L’équipe de Marc Ravalomanana a lancé une campagne médiatique sur les réseaux sociaux pour démonter la crédibilité de la CENI et des tendances qu’elle a publiées. Il a même été affirmé par des ténors du camp du candidat numéro 25 que les responsables de la CENI ont été achetés par leur rival. Les autres écuries politiques n’avaient plus qu’à s’engouffrer dans la brèche pour contester la fiabilité des résultats du premier tour.