Les habitants du « Deep South » sont au centre de préoccupation des Onusiens. Ses agences, dont le Programme alimentaire mondial (PAM), le fonds des Nations Unies pour l’enfance (Unicef) et l’Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), vont augmenter leur programme pour sauver les centaines de milliers de victimes de l’insécurité alimentaire. Ce besoin de ressources supplémentaires a été ressenti après les trois années consécutives de sécheresse, renforcées par le phénomène El Nino en 2015. « Ce sont des gens qui vivent au bord du désastre. Nous devons agir ensemble maintenant pour sauver des vies et donner de l'espoir à l'avenir », a souligné Chris Nikoi, Directeur Régional du PAM pour la région du Sud de l’Afrique, après sa visite dans le Sud, il y a quelques semaines. Parmi les actions figurent l’augmentation des bénéficiaires de l’assistance alimentaire, à un million, d’ici fin novembre, par le biais de transferts monétaires. La prévention et le traitement de la malnutrition aiguë modérée, chez plus de 200 000 femmes enceintes, mères allaitantes et enfants de moins de 5 ans, par la supplémentassion nutritionnelle. Ces activités sont menées par le PAM. M.R.
Les habitants du « Deep South » sont au centre de préoccupation des Onusiens. Ses agences, dont le Programme alimentaire mondial (PAM), le fonds des Nations Unies pour l’enfance (Unicef) et l’Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), vont augmenter leur programme pour sauver les centaines de milliers de victimes de l’insécurité alimentaire. Ce besoin de ressources supplémentaires a été ressenti après les trois années consécutives de sécheresse, renforcées par le phénomène El Nino en 2015. « Ce sont des gens qui vivent au bord du désastre. Nous devons agir ensemble maintenant pour sauver des vies et donner de l'espoir à l'avenir », a souligné Chris Nikoi, Directeur Régional du PAM pour la région du Sud de l’Afrique, après sa visite dans le Sud, il y a quelques semaines. Parmi les actions figurent l’augmentation des bénéficiaires de l’assistance alimentaire, à un million, d’ici fin novembre, par le biais de transferts monétaires. La prévention et le traitement de la malnutrition aiguë modérée, chez plus de 200 000 femmes enceintes, mères allaitantes et enfants de moins de 5 ans, par la supplémentassion nutritionnelle. Ces activités sont menées par le PAM. M.R.