Dix-millième pierre Le laboratoire de l’Institut de gemmologie de Madagascar (IGM) a testé la semaine dernière sa dix-millième pierre. Il s’agit d’une « tourmaline polychrome montée sur un bijou en pendentif d’un poids total de 13,55g », indique un communiqué du laboratoire. De plus en plus de professionnels et de particuliers intègrent les services du laboratoire d’identification de gemmes de l’IGM, qui a actuellement dix ans. Outre l’identification des gemmes, que celles-ci soient brutes, taillées ou montées sur bijoux, l’IGM offre également des formations en gemmologie et en lapidairerie. Un nouveau groupe pour Farafangana Les autorités ont décidé d’envoyer un groupe électrogène d’une puissance de 200 Kw pour calmer les esprits qui se sont échauffés dans cette ville du Sud-Ouest. Les autorités espèrent qu’avec ce nouveau groupe, les besoins de la moitié de la ville seront satisfaits. Selon les responsables, Farafangana a besoin d’une puissance de 840 Kw en heure de pointe, or les groupes électrogènes qui alimentaient la ville ne pouvaient fournir au maximum que 370 Kw.
Dix-millième pierre Le laboratoire de l’Institut de gemmologie de Madagascar (IGM) a testé la semaine dernière sa dix-millième pierre. Il s’agit d’une « tourmaline polychrome montée sur un bijou en pendentif d’un poids total de 13,55g », indique un communiqué du laboratoire. De plus en plus de professionnels et de particuliers intègrent les services du laboratoire d’identification de gemmes de l’IGM, qui a actuellement dix ans. Outre l’identification des gemmes, que celles-ci soient brutes, taillées ou montées sur bijoux, l’IGM offre également des formations en gemmologie et en lapidairerie. Un nouveau groupe pour Farafangana Les autorités ont décidé d’envoyer un groupe électrogène d’une puissance de 200 Kw pour calmer les esprits qui se sont échauffés dans cette ville du Sud-Ouest. Les autorités espèrent qu’avec ce nouveau groupe, les besoins de la moitié de la ville seront satisfaits. Selon les responsables, Farafangana a besoin d’une puissance de 840 Kw en heure de pointe, or les groupes électrogènes qui alimentaient la ville ne pouvaient fournir au maximum que 370 Kw.