Placé en garde à vue au commissariat d’Ivohibe, un individu pris avec des armes à feu et des munitions a été retrouvé mort pendu. La thèse d’un suicide est avancée. Un décès suscite l’émoi. Samedi tôt le matin, le corps inerte d’un suspect gisait dans la cellule de sûreté du commissariat d’Ivohibe. Le jeune homme est mort étranglé par un nœud collant, attaché sur les barreaux de la fenêtre de sa cellule. Le défunt a utilisé le tissu de ses vêtements pour en faire une corde. À l’aube, le policier qui assurait la permanence était saisi d’effroi lorsqu’il a découvert le corps sans vie de l’individu placé en garde à vue. D’emblée il a informé de la situation son supérieur hiérarchique. La famille du défunt ainsi que les autorités auprès du district ont également été informées du drame. Après constat, la famille du défunt a récupéré le corps. Trafic d’armes L’individu ayant trouvé la mort habitait dans le village de Tambohobe. Mis au parfum que le suspect détenait chez lui des armes à feu ainsi que des munitions, la police a ouvert une enquête et a demandé à effectuer une perquisition. Jeudi, des éléments ont débarqué au foyer du suspect pour y effectuer des fouilles. Après avoir mis la main sur des armes à feu ainsi que des munitions de fabrication artisanale, la police a embarqué le suspect. Les objets compromettants découverts à son domicile ont été dans la foulée saisis. Sitôt arrivé dans le chef-lieu de district d’Ivohibe, le suspect a été d’emblée placé en garde à vue et l’interrogatoire a aussitôt débuté. Rien d’inquiétant ne s’est produit le lendemain de l’arrestation. Le pire s’est néanmoins produit dans la nuit de vendredi à samedi. De source policière, le suspect a été enfermé seul dans une cellule de sûreté. Dans la chambre de détention adjacente avait également été gardé un deuxième individu. Interrogé sur le drame après la découverte macabre, celui-ci affirme n’avoir rien entendu la nuit. La thèse d’un suicide est privilégiée. Malgré la mort du défunt, objet d’enquête pour détention illégale d’armes à feu, la recherche des autres personnes susceptibles d’être mouillées dans cette affaire se poursuit.
Placé en garde à vue au commissariat d’Ivohibe, un individu pris avec des armes à feu et des munitions a été retrouvé mort pendu. La thèse d’un suicide est avancée. Un décès suscite l’émoi. Samedi tôt le matin, le corps inerte d’un suspect gisait dans la cellule de sûreté du commissariat d’Ivohibe. Le jeune homme est mort étranglé par un nœud collant, attaché sur les barreaux de la fenêtre de sa cellule. Le défunt a utilisé le tissu de ses vêtements pour en faire une corde. À l’aube, le policier qui assurait la permanence était saisi d’effroi lorsqu’il a découvert le corps sans vie de l’individu placé en garde à vue. D’emblée il a informé de la situation son supérieur hiérarchique. La famille du défunt ainsi que les autorités auprès du district ont également été informées du drame. Après constat, la famille du défunt a récupéré le corps. Trafic d’armes L’individu ayant trouvé la mort habitait dans le village de Tambohobe. Mis au parfum que le suspect détenait chez lui des armes à feu ainsi que des munitions, la police a ouvert une enquête et a demandé à effectuer une perquisition. Jeudi, des éléments ont débarqué au foyer du suspect pour y effectuer des fouilles. Après avoir mis la main sur des armes à feu ainsi que des munitions de fabrication artisanale, la police a embarqué le suspect. Les objets compromettants découverts à son domicile ont été dans la foulée saisis. Sitôt arrivé dans le chef-lieu de district d’Ivohibe, le suspect a été d’emblée placé en garde à vue et l’interrogatoire a aussitôt débuté. Rien d’inquiétant ne s’est produit le lendemain de l’arrestation. Le pire s’est néanmoins produit dans la nuit de vendredi à samedi. De source policière, le suspect a été enfermé seul dans une cellule de sûreté. Dans la chambre de détention adjacente avait également été gardé un deuxième individu. Interrogé sur le drame après la découverte macabre, celui-ci affirme n’avoir rien entendu la nuit. La thèse d’un suicide est privilégiée. Malgré la mort du défunt, objet d’enquête pour détention illégale d’armes à feu, la recherche des autres personnes susceptibles d’être mouillées dans cette affaire se poursuit.