Un réseau de voleurs de carburant, faisant victime la Jirama de Mandritsara, vient d’être mis à nu. Il est composé de trois salariés de la société, six transporteurs, un receleur ou leur magasinier et quatre acheteurs. Ils ont tous été conduits au Parquet, après interrogatoire à la gendarmerie. Leur comparution s’est terminée lundi où ils ont été placés sous mandat de dépôt suivant la citation directe du ministère public. Selon le lieutenant-colonel Rija Désiré Hajandrakotonirina, commandant du groupement de la gendarmerie de Sofia, la Jirama n’a pas déposé plainte concernant le vol. Une association de jeunes et les notables ont par contre saisi la justice. Agissant sur base de renseignements, les enquêteurs se sont mis sur la piste des suspects. Ils ont été informés de la présence des tricycles « bajaj » transportant des bidons douteux depuis le site de la Jirama. Au fil de leur investigation, ils ont ciblé deux premiers suspects, travaillant comme machinistes. Ils ont procédé à une perquisition chez l’un d’eux où une vingtaine de jerricanes vides, sentant le gasoil, ainsi que d’autres pleins, quarante litres au total, ont été retrouvés. Les limiers ont remonté les traces jusqu’aux autres têtes trempées dans cette épopée.
Un réseau de voleurs de carburant, faisant victime la Jirama de Mandritsara, vient d’être mis à nu. Il est composé de trois salariés de la société, six transporteurs, un receleur ou leur magasinier et quatre acheteurs. Ils ont tous été conduits au Parquet, après interrogatoire à la gendarmerie. Leur comparution s’est terminée lundi où ils ont été placés sous mandat de dépôt suivant la citation directe du ministère public. Selon le lieutenant-colonel Rija Désiré Hajandrakotonirina, commandant du groupement de la gendarmerie de Sofia, la Jirama n’a pas déposé plainte concernant le vol. Une association de jeunes et les notables ont par contre saisi la justice. Agissant sur base de renseignements, les enquêteurs se sont mis sur la piste des suspects. Ils ont été informés de la présence des tricycles « bajaj » transportant des bidons douteux depuis le site de la Jirama. Au fil de leur investigation, ils ont ciblé deux premiers suspects, travaillant comme machinistes. Ils ont procédé à une perquisition chez l’un d’eux où une vingtaine de jerricanes vides, sentant le gasoil, ainsi que d’autres pleins, quarante litres au total, ont été retrouvés. Les limiers ont remonté les traces jusqu’aux autres têtes trempées dans cette épopée.